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Le sucre, de la récompense au cadeau empoisonné

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Approuvé par un·e ostéopathe DO

J’aime le sucre. C’est mon petit plaisir à moi.

Je n’y peux rien, c’est comme ça.
A la fin de chaque repas, je n’imagine pas finir sans un dessert.
J’aime le sucre.
Quand je prends une pâtisserie à la boulangerie à la sortie du travail ou après l’école.
Quand je me sers un verre de soda devant la télévision.
Quand je met deux, trois, ou quatre morceaux de sucre blanc dans mon infusion du soir.
J’aime le sucre.
Je me fais du bien. Le sucre m’apaise, me détend, me rassure.
Alors non, vivre sans, je ne l’imagine pas du tout. Du tout.

D’où vient mon attirance pour le sucré ?

Peut-être que je le prends par habitude, sans plus m’en apercevoir.
Si je réfléchis bien, le sucre est présent à chaque instant de ma vie.
Lors des anniversaires, lorsque les règles sont plus souples. En vacances, lors de feu de camp avec des marshmallows grillés. Les sucres d’orge de Noël. Les chocolats de Pâques.

Quand ça va bien, il y a du sucre.
Et quand ça va mal aussi.
Les mauvaises journées de pluie où les parents préparent un gâteau. Les journées d’ennui à grignoter des sucreries. Les chocolats et pots de glace pour les soirées de chagrin.

Finalement, c’est un peu comme mon doudou.

Un doudou comestible et rassurant.
Lorsque j’en mange, je me réconforte moi-même.
Lorsque j’étais bébé, le lait maternel que je buvais était sucré.

Le sucre me ramène à une époque qui m’a rassuré dès les premiers instants de ma vie.

Le sucre est aussi pour moi une sorte de récompense.

Je rebooste mon moral et mon égo.

Lorsque j’étais enfant, je devais demander la permission de manger du sucre. Bonbons, chocolats et sodas étaient réglementés.
Maintenant que je suis adulte, j’ai mon doudou à moi, accessible n’importe quand. Et comme le sucre me fait du bien, j’en abuse peut-être. J’ai parfois l’impression d’avoir une addiction au sucre.

Faire la guerre au sucre

Et il y a aussi des moments de ma vie où je décide que je n’en veux plus. Pour perdre du poids. Pour régler des problèmes de santé.
Mon doudou devient alors mon pire ennemi. Parce qu’il est absolument partout.
Dans les sodas, les bonbons et les gâteaux. Mais aussi dans le vin, les fruits, le miel.
Je pars à la chasse au sucre.

Vivre sans, c’est possible

La vie sans sucre n’est pas forcément amère, bien au contraire.
Lorsque j’arrête de tout saupoudrer de sucre, mon palais sort d’une longue anesthésie.
J’apprends à retrouver le vrai goût des choses. La saveur d’un concombre, du pain frais, de gâteaux à l’avoine. Je cuisine davantage. Car j’évite le sucre, lui qui est presque partout. Je prends le temps pour moi. Un univers de saveurs m’ouvre grand les bras.
Lorsque je goûte à nouveau du sucre, je grimace.
Je suis capable de dire d’un melon qu’il est trop sucré. Moi, l’accro au sucre.
Si on me l’avait dit plus tôt, je n’y aurais pas cru.
Et pourtant, me voilà désormais capable de trouver en moi mes propres ressources.

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Rédigé par

Cléa

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