Lorsque l’on parle de sclérose en plaques (SEP) on pense à la tétraplégie comme signe évocateur et premier symptôme du trouble. Il s’agit seulement de la phase la plus évoluée de la sclérose en plaques.
Cette maladie dégénérative inflammatoire touche le système nerveux. Elle entraîne en effet des troubles moteurs, mais également des troubles cognitifs et sensitifs.
Les symptômes et manifestations de cette atteinte sont multiples et diffèrent d’une personne à une autre. Mais pour tous, les handicaps qu’entraîne cette pathologie ont un retentissement important sur le quotidien.
Alors comment reconnaître les signes évocateurs et les symptômes de la sclérose en plaques ? Qu’est ce qui déclenche cette maladie ? Est-il possible de la prévenir ? Existe-t-il des solutions naturelles pour la soigner ? Quelle place occupe votre ostéopathe dans la prise en charge de ce trouble ?
La sclérose en plaques (SEP)
C’est le neurologue Français Jean Martin Charcot qui décrit pour la première fois ce trouble en 1868. Cette atteinte concerne le système nerveux central, à savoir le cerveau et la moelle épinière.
Le début de la maladie survient généralement entre 20 et 35 ans, dans les trois quarts des cas.1 Dans environ 3% des cas, la maladie débute durant l’enfance. Il existe des formes tardives de la sclérose en plaques qui peuvent débuter après 40 ans.2
Il s’agit d’une maladie dégénérative inflammatoire qui vient toucher le système nerveux. Et plus précisément les structures de l’organisme qui viennent protéger les nerfs : la myéline.
La myéline mise à mal
La myéline est une gaine qui entoure les nerfs. Elle permet notamment d’améliorer la conductibilité du nerf, c’est-à-dire qu’elle améliore la transmission des messages nerveux.
Elle sert également d’élément protecteur aux nerfs. Mais lorsque vous êtes atteint·e de sclérose en plaques, cette myéline est victime d’une dégénérescence au fil du temps. Voire même, d’une destruction.
Détruite par ses propres cellules
Cette destruction est causée par les cellules responsables de l’immunité. Vos cellules immunitaires, appelées lymphocytes, censées détruire les agents pathogènes du corps agressés par une bactérie ou un virus par exemple, attaquent la myéline. Elles la détectent, à tort, comme étant un agent pathogène.
Ce phénomène est caractéristique des maladies auto-immunes.
La myéline peut habituellement se reformer de manière naturelle et autonome après sa destruction. Mais en cas de sclérose en plaques, celle-ci peine à se reformer correctement. Ce qui explique alors le caractère évolutif de la maladie.
Maladie auto-immune, kezako ?
On parle de maladie auto-immune lorsque l’organisme est agressé par son propre système immunitaire. C’est en effet ici votre propre organisme qui vient combattre vos cellules, pensant que celles-ci sont mauvaises.
Les maladies auto-immunes sont nombreuses, il peut s’agir notamment de :
- Psoriasis
- Polyarthrite rhumatoïde
- Diabète de type 1
- Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI)
Sclérose en plaques : les symptômes
Lorsque la myéline est touchée, l’information nerveuse ne peut être transmise correctement. Elle montre alors des signes de dysfonctions de la motricité et de la psyché : les manifestations conscientes et inconscientes de la personnalité.
Des manifestations variables
Lorsque la myéline du nerf optique est atteinte, ces dysfonctions font état de troubles visuels comme :
- un voile devant les yeux,
- une cécité partielle ou totale,
- une akinésie des yeux : la rareté des mouvements,
- et des douleurs lorsque vous clignez des yeux.
Mais ces troubles peuvent se manifester de différentes manières en fonction de la partie du système nerveux qui est atteinte. On peut ainsi également observer des fourmillements. Ou encore une perte de force et une sensation d’engourdissement. Ce sont les signes caractéristiques d’un pincement nerveux.3
Ces symptômes peuvent également s’accompagner de troubles de la marche, de pertes d’équilibre et de troubles de la mémoire. Mais aussi d’un état de grande fatigue et un état dépressif qui peut malheureusement mener à l’isolement.
L’impact psychologique de la sclérose en plaques
La SEP peut avoir une incidence sur votre santé mentale. Variation d’humeur, perte de motivation, sentiment de dévalorisation liée à la perte d’autonomie, fatigue, et dans certains cas dépression.
De nombreuses associations existent aujourd’hui pour vous aider, vous et votre entourage. Elles permettent aussi de vous tenir informé·e des recherches de traitement.
L’AFSEP est l’association la plus vieille de France. Elle lutte depuis plus de 50 ans contre la sclérose en plaques.
D’autres associations comme Notre Sclérose mettent en avant des témoignages4. Nous vous conseillons d’entrer en contact avec l’une de ses associations afin de rompre un éventuel isolement sur le sujet.
Évolution de la sclérose en plaques
La sclérose en plaques par poussée
Dans 80 à 85% des cas, la sclérose en plaques évolue par poussées. Lorsque les symptômes surviennent, ils se manifestent de différentes manières. Mais aussi à des degrés différents en fonction de chacun. Après cette poussée de symptômes, on observe une phase de retour à la normale. Qui peut être plus ou moins totale.
On observe notamment ce même phénomène de poussée dans d’autres maladies auto-immunes comme la maladie de Crohn.
Ces périodes de poussées sont plus ou moins longues et peuvent survenir plusieurs fois par an. Ces phases peuvent survenir à n’importe quel moment, et durer de 24 heures à plusieurs jours.
Les symptômes de la sclérose en plaques par poussée
Ces périodes de poussées apportent leur lot de symptômes :
- troubles moteurs,
- perte de force musculaire,
- troubles de l’équilibre,
- en passant par des troubles oculaires et des douleurs au niveau des yeux.
Il peut alors devenir particulièrement difficile de travailler, de conduire ou encore d’exécuter certains gestes simples du quotidien.
Mais ces troubles fatiguent aussi énormément l’organisme, impactent le moral et préoccupent. Seulement l’état de stress et de fatigue tend à augmenter les symptômes de poussée, un vrai cercle vicieux.
La sclérose en plaques progressive
Dans 10 à 15% des cas, la sclérose en plaques se manifeste sous une forme dite progressive. Elle évolue directement par dégénérescence sans poussée et sans retour à la normale. Elle concernerait 40% des malades 10 ans après le début de la maladie.5
Sclérose en plaques : les causes
Aujourd’hui, entre 90 000 à 100 000 personnes sont atteintes de sclérose en plaques en France. Et 4 000 nouveaux cas sont déclarés chaque année dans l’hexagone.6
Plusieurs études tentent d’expliquer les causes à l’origine de l’apparition de la sclérose en plaques.
Certaines causes ont été mises en lumière comme une prédisposition héréditaire. En effet, certains gènes responsables de l’immunité sont retrouvés chez les membres d’une même famille.
Ou encore des facteurs environnementaux.
D’autres facteurs sont également mis en avant pour expliquer le terrain qui favorise l’apparition de la sclérose en plaques7.
Le contact avec certaines bactéries durant l’enfance
Pendant l’enfance, la contraction de la mononucléose avec le virus Epstein-Barr a été évoquée comme étant l’un des facteurs possibles. Il serait responsable de ce dérèglement du système immunitaire.
D’autres virus sont également cités. Comme le virus de la rougeole, la rubéole ou encore celui de la rage.
Des carences
Un déficit ou carence en vitamine D fait également partie des facteurs mis en avant dans l’apparition de cette maladie.
Des études analysent l’exposition des personnes de par le monde. Elles tendent à montrer que les individus qui vivent dans un pays très ensoleillé ont moins de risque de développer la sclérose en plaques.
Une maladie veineuse
L’insuffisance veineuse céphalorachidienne chronique (IVCC) a été mise en avant comme étant un facteur à risque important. Il s’agit d’une atteinte caractérisée par un trouble circulatoire des veines du cerveau et de la moelle épinière.
Le microbiote intestinal
La Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques (ARSEP) relève également que le microbiote intestinal joue un rôle important dans la fonction du système nerveux central.
Un dérèglement de ce microbiote pourrait alors contribuer à l’apparition et à l’évolution de diverses maladies du système nerveux central.
Les autres facteurs de risque
Certains facteurs de risques sont également identifiés. Ils pourraient contribuer à former un terrain propice à l’apparition de la sclérose en plaques. Il s’agit notamment de :
- Maladie du type diabète de type 1, de MICI, de SIBO : prolifération bactérienne dans l’intestin grêle
- Consommation de tabac
- Exposition prolongée à certains agents chimiques
À l’heure actuelle, certaines études tentent d’identifier le stress et la fatigue comme des facteurs qui déclenchent les poussées.
Sclérose en plaques : le diagnostic et traitement
Le diagnostic
Devant tout signe qui évoque une sclérose en plaques, consultez immédiatement votre médecin. C’est ensuite un·e neurologue qui effectue le diagnostic de la sclérose en plaques.
L’examen clinique permet de mettre en évidence les déficits moteurs, visuels, et les troubles de la marche. Il permet également de connaître la forme de la sclérose en plaques et son évolution.
Une IRM permet de repérer les zones atteintes par la maladie. Une prise de sang et une ponction lombaire peuvent compléter ces examens.
Sclérose en plaques : quel traitement ?
Il n’existe malheureusement à ce jour aucun traitement qui permet de guérir de la sclérose en plaques. Les traitements médicamenteux disponibles ralentissent cependant la progression de la maladie et atténuent les symptômes.
Il peut s’agir de la prise de corticostéroïdes, ou encore de méthylprednisolone par intraveineuse, en phases de poussées. Ou encore d’immuno-modulateurs hors périodes de crises.
Les effets secondaires de ces traitements peuvent être particulièrement lourds et augmenter la pression artérielle. Ils peuvent aussi venir altérer le sommeil, entre autres.
La question du traitement médicamenteux reste cependant à discuter directement avec votre médecin ou neurologue.
Sclérose en plaques et ostéopathie
Les raisons qui vous poussent à rechercher un traitement naturel pour la sclérose en plaques peuvent être nombreuses. Particulièrement en phase de poussée, où de nouveaux médicaments s’ajoutent à votre prescription afin de soulager vos symptômes alors à leur paroxysme.
Il convient cependant de systématiquement consulter votre médecin ou neurologue avant toute modification de votre traitement.
En effet, les solutions naturelles pour la sclérose en plaques, comme l’ostéopathie, ne se substituent pas à votre traitement médical. Mais permettent d’atténuer les symptômes et d’améliorer le terrain immunitaire.
Il est également important de rester vigilant·e aux nombreuses promesses de traitement et solutions miraculeuses trouvées en ligne.
Sclérose en plaques et ostéopathie : les soins en période de poussée
Des techniques douces et adaptées permettent à votre organisme de récupérer de l’état de fatigue général qu’entraînent les périodes de poussées. Ce travail porte sur plusieurs axes.
Le relâchement des tensions musculaires
Les troubles moteurs apportés par la sclérose en plaques peuvent être particulièrement handicapants au quotidien : marcher, attraper des objets et même vous brosser les cheveux, etc.
Lorsque vous souffrez de dyskinésies, c’est-à-dire des mouvements anormaux involontaires, cela vient créer des tensions musculaires importantes et permanentes. En effet, votre corps cherche tant bien que mal à rattraper les déséquilibres dont il souffre.
Le travail de l’ostéopathe consiste alors à relâcher les tensions dans vos muscles pour permettre de soulager les douleurs musculaires. Cela passe par des techniques douces de contraction-relâchement-étirements afin d’atténuer les fourmillements et de renforcer votre système musculaire. Le but étant de remettre de la cohérence dans les messages nerveux entre votre cerveau et vos muscles.
Sclérose en plaques : quel traitement naturel par l’ostéopathie ?
L’ostéopathie permet, lors des périodes de poussée, de réduire de nombreux symptômes. Un travail spécifique et en douceur permet d’atténuer les douleurs. Mais aussi les tensions musculaires provoquées par la maladie. Le tout vous permet de mieux vivre au quotidien.
Mais votre ostéopathe peut également intervenir en dehors des poussées afin de diminuer leur fréquence d’apparition et leur intensité. Pour cela son travail porte directement sur les facteurs qui favorisent l’apparition des crises et leur exacerbation.
Votre ostéopathe se trouve être un·e excellent·e allié·e pour :
- atténuer les symptômes de la sclérose en plaques,
- renforcer votre système immunitaire,
- et pour vous aider à vivre plus sereinement la maladie.
Le rétablissement d’une meilleure fonction de l’équilibre
Les troubles de l’équilibre sont fréquents lorsque vous êtes atteint·e de sclérose en plaques. Ils témoignent notamment de l’atteinte d’une partie du système nerveux qui contrôle ce réflexe.
Lorsque ces zones sont atteintes, les autres capteurs d’équilibre du corps sont perturbés car ils sont tous interdépendants.
Le travail de l’ostéopathe consiste donc à permettre aux autres capteurs de fonctionner de manière optimale. Afin de pallier aux troubles de déséquilibre qui peuvent entraîner par la suite d’autres pathologies. Pathologies qui peuvent être dues aux tensions générées par une mauvaise posture globale par exemple.
Ainsi, votre ostéopathe accorde une attention particulière à vos cervicales, vos genoux ou encore à votre articulation temporo-mandibulaire. Ainsi que votre système nerveux central, cerveau et moëlle épinière, qui joue un rôle important dans l’équilibre.
Le soulagement des troubles oculaires
Les troubles oculaires causés par la sclérose en plaques provoquent souvent des douleurs importantes au niveau des yeux. Douleurs alors accompagnées d’une baisse de l’acuité visuelle.
Un travail crânien ainsi que des manipulations au niveau des passages des nerfs, les fentes orbitaires situées au niveau de l’os frontal permettent une meilleure conduction nerveuse. Et donc ainsi de réduire les spasmes oculaires.
La vascularisation des muscles de vos yeux est aussi vérifiée afin de diminuer leur spasticité. C’est-à-dire, leur étirement rapide.
Le traitement des troubles urinaires
Si vous souffrez de sclérose en plaques, il est probable que vous souffriez de troubles urinaires. Et notamment d’infections causées par le dérèglement de vos muscles vésicaux.
Votre ostéopathe est en mesure de travailler sur les troubles de la vessie en relâchant tout le système environnant. En effet, il peut être responsable de tension. Votre ostéopathe s’intéresse notamment ici aux muscles qui constituent votre bassin, ou encore votre périnée.
Ces techniques se pratiquent exclusivement en externe. Votre ostéopathe n’est pas habilité·e à effectuer des manipulations internes.
Sclérose en plaques et ostéopathie : consultations en dehors des poussée
Limiter les facteurs de risques et les infections
En dehors des phases de poussée, il s’agit d’un vrai travail de fond pour l’ostéopathe. Les soins ostéopathiques en dehors des crises permettent d’abord d’atténuer les facteurs qui favorisent leur apparition et leur exacerbation. Comme le stress par exemple. Mais aussi de limiter les troubles infectieux, comme les otites, les sinusites etc.
Pour se faire, votre ostéopathe effectue un travail crânien notamment.
Prendre en charge les troubles rhumatologiques
Certains traitements médicamenteux prescrits dans les troubles rhumatologiques semblent favoriser la survenue des crises. Il peut notamment s’agir de troubles comme la polyarthrite rhumatoïde ou encore la spondylarthrite rhumatoïde, entre autres.
Il convient alors pour l’ostéopathe de prendre en charge ces troubles spécifiquement afin de les réduire si possible. Son travail passe notamment par des techniques de relâchement et de décompression des articulations, suivant les soins de votre système nerveux ainsi que de vos viscères.
Limiter les infections virales et les atteintes ORL
Des infections virales ou les infections qui impactent la sphère ORL pourraient provoquer la survenue des poussées.
L’ostéopathie propose une alternative et des solutions naturelles pour réduire les infections à répétitions comme les otites et les sinusites. Les soins participent en plus au renforcement du système immunitaire par un meilleur drainage. Un meilleur drainage réduit la stase et les récidives infectieuses.
Améliorer la qualité de votre sommeil
Votre ostéopathe peut également vous aider à réduire les troubles qui peuvent perturber vos nuits et votre sommeil.
Libérer les tensions musculaires ou les tensions sur votre dure-mère permettent de noter une meilleure qualité de sommeil. Cette membrane qui entoure la moelle épinière et tapisse les os du crâne est parfois soumise à des tensions.
Les libérer par un travail sur les os du crâne et votre système nerveux, permet une meilleure circulation sanguine. Ainsi qu’un relâchement global du corps. Ce qui entraîne une réduction du stress et de l’anxiété, et donc un meilleur sommeil.
Optimiser la circulation sanguine
Si une insuffisance veineuse céphalorachidienne chronique est mise en avant dans votre cas, votre ostéopathe use alors de techniques spécifiques de drainage de la tête et du cou. Ces techniques douces permettent d’améliorer votre retour veineux par un travail spécifique sur le crâne.
Limiter les troubles sexuels
Les troubles sexuels peuvent malheureusement être fréquents si vous êtes atteint de sclérose en plaques. La perturbation du système nerveux induit une hypersensibilité lors des rapports sexuels.
Les femmes semblent être davantage touchées que les hommes. Deux femmes sont atteintes pour un homme. Mais lorsque le début de la maladie est tardif, la proportion d’hommes et de femmes atteints devient équivalente.8
Elles présentent souvent une baisse de la libido et des troubles de la lubrification de la paroi vaginale. Ce manque de lubrification peut rendre les rapports douloureux.
Pour les hommes, il s’agit bien souvent de troubles érectiles et de troubles éjaculatoires.
Le bon déroulement des rapports peut aussi se retrouver perturbé par le sentiment d’inquiétude et un stress élevé. Car un blocage psychologique peut provoquer une perturbation du système hormonal. Notamment les hormones responsables du relâchement et du bien-être. L’ostéopathe agit ici directement sur la régulation du système hormonal.
Réguler le système digestif
La sclérose en plaques met en évidence une dysbiose. La dysbiose est un déséquilibre des bactéries qui composent l’écosystème microbien de l’intestin. Cette modification des proportions de certaines espèces bactériennes, à la hausse ou à la baisse, vient ainsi causer des troubles immunitaires.
L’ostéopathe vient alors en soutien à la régulation de ce système via un travail sur votre système digestif. Notamment sur votre foie et votre vésicule biliaire, qui aident à la régulation des sucs gastriques.
Ces techniques non douloureuses, bien qu’elles puissent générer certaines sensations désagréables, permettent d’améliorer la réabsorption au niveau du côlon. Et notamment la réabsorption de la vitamine D en agissant sur le péristaltisme. C’est-à-dire la contraction musculaire qui fait progresser un contenu à l’intérieur d’un organe.
Notes et réferences
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- https://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/05/25/25012-sclerose-plaques-avancees-contre-formes-chroniques#:~:text=Cent%20mille%20personnes%20touch%C3%A9es%20en,la%20premi%C3%A8re%20cause%20de%20handicap↩
- https://afsep.fr/qui-est-touche-par-la-sep/#:~:text=Le%20d%C3%A9but%20de%20la%20maladie%20survient%20dans%20trois%20quarts%20des,peuvent%20d%C3%A9buter%20apr%C3%A8s%2040%20ans.↩
- https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sclerose_plaques_pm↩
- https://www.notresclerose.org/temoignages↩
- https://www.notresclerose.org/la-sclerose-en-plaques/formes-et-evolution#:~:text=La%20forme%20primaire%20progressive%20concerne,%C3%A9volution%20se%20fait%20sans%20pouss%C3%A9e.↩
- https://afsep.fr/qui-est-touche-par-la-sep/#:~:text=La%20Scl%C3%A9rose%20en%20Plaques,-Qui%20est%20touch%C3%A9&text=90%20000%20%C3%A0%20100%20000,d%C3%A9clar%C3%A9s%20chaque%20ann%C3%A9e%20en%20France.↩
- s-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-neurodegeneratives/article/la-sclerose-en-plaques↩
- https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=sclerose-plaques-touche-plus-femmes#:~:text=La%20scl%C3%A9rose%20en%20plaques%2C%20maladie,changement%20de%20vie%20des%20femmes.↩
Bonjour, j’ai que 20 ans et victime du sep avec cette fatigue chronique et cette douleur qui me fait chier tous les jour. Je cherche sep traitement naturel pour combler mon traitement actuel svp je veux tt savoir par rapport à cette maladie et pour tt ce qui est du régime car je ne mange plus, vrm peu d’appétit, perdu 5 kg. Sans parler de mon côté émotionnel. Je me déprime totalement mais j vais pas me laisser faire. Merci pour votre réponse.
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire.
La prise en charge ostéopathique peut venir compléter votre traitement médical.
L’ostéopathie permet de soulager les douleurs chroniques dont vous souffrez.
La sphère émotionnelle peut également être prise en charge en ostéopathie, pour cela, nous vous conseillons de prendre rendez-vous avec un·e ostéopathe spécialiste de la sphère somato-émotionnelle.
Vous pouvez consulter votre ostéopathe en période de poussées mais également après les poussées afin de libérer les différentes tensions qui peuvent exister.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B;
Bonjour, je cherche sclérose en plaque traitement naturel pour ma mère qui a une difficulté à marcher actuellement. Elle a le sclérose en plaque et se déplace en Fauteuil-Roulant, on a essayé l’argent colloïdale pendant un mois mais sans grand résultat, du coup on a décidé de traiter avec des remède naturel, régime alimentaire et tout mais je connais pas beaucoup voilà pourquoi je m’adresse à vous pour plus de traitement naturel. Merci d’avance pour votre aide..
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Nous comprenons votre envie de passer à un traitement plus naturel.
Les prises en charges telles que l’ostéopathie, la naturopathie ou encore la diététique permettent d’avoir une approche plus naturelle du traitement. En revanche, ces prises en charges ne se substituent pas au traitement médical que votre mère suit. Il est important de ne pas cesser le traitement médical prescrit sans l’avis de votre médecin.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.