L’intervention de chirurgie esthétique la plus pratiquée en France est la pose d’implants ou de prothèses mammaires1. Et même dans le monde.2
En ce qui concerne cette opération, on se pose souvent des questions : taille des prothèses mammaires, rendu naturel de l’opération, etc. Mais on parle moins du sujet des douleurs qui peuvent suivre.
Qu’elles soient au niveau de la poitrine ou à distance, les douleurs ressenties peuvent être bien réelles. Et ce, parfois même plusieurs années après l’opération.
Les douleurs liées aux différentes techniques d’augmentation mammaire
Quelle que soit la méthode utilisée, la suite des opérations d’implants peut générer des douleurs.
Votre sensibilité au niveau de la poitrine peut également changer. Notamment à cause des lésions nerveuses autour des mamelons. Vous pourriez ainsi avoir les seins et les mamelons plus ou moins sensibles qu’avant. Et ce, de manière passagère ou permanente.
Cependant, ce ne sont pas les implants eux-mêmes qui les causent. En effet, ils n’ont aucune connexion nerveuse.
Généralement, la douleur est à la poitrine : on parle de mastodynie. Le sein peut en effet devenir très dur et douloureux à la suite de l’intervention. C’est une réaction inflammatoire physiologique qui se crée.
Cette douleur a tendance à s’étendre aux articulations et aux muscles environnants. Ce qui entraîne très souvent des douleurs au dos.
Néanmoins, l’intensité et le type de douleur varient selon la méthode de pose d’implants utilisée.
Augmentation mammaire rétropectorale
La prothèse rétromusculaire est, en général, la plus pratiquée. Les implants sont placés en arrière des muscles pectoraux et permettent de maintenir la prothèse.
Avec cette méthode, les douleurs sont généralement plus importantes et les prothèses bougent lors de la contraction musculaire. Si cette technique donne les résultats les plus naturels, c’est aussi la plus invasive : elle crée une déchirure du muscle pectoral.
Votre muscle pectoral s’insère sur vos côtes, sur votre clavicule et sur vos épaules, en avant. Lorsque la prothèse est en arrière du muscle, elle se retrouve en tension vers l’avant. Ces tensions peuvent limiter les mouvements des articulations environnantes, notamment par l’intermédiaire du trapèze.
Les prothèses peuvent bouger et créer des douleurs sous l’effet des contractions musculaires. La question de la douleur après une augmentation mammaire sous le muscle revient souvent.
Augmentation mammaire prémusculaire
Ici, la pose d’implants se fait en avant des muscles pectoraux, derrière la glande mammaire.
On utilise cette méthode en cas de ptose mammaire3 : c’est lorsque la glande s’affaisse et la peau se relâche.
Aussi, les grand·es sportif·ves utilisent cette technique afin d’éviter le conflit avec la contraction du muscle pectoral.
Avec la pose pré musculaire, le muscle pectoral n’est pas déchiré. Dès lors, les douleurs sont en général moins importantes car c’est l’effet d’étirement de la glande mammaire et des tissus adipeux autour. Ici, l’effet d’étirement est également moins important sur les épaules et les cervicales.
Lipofilling mammaire
Dans certains cas, il est possible d’opter pour le lipofilling mammaire, ou transfert de graisse.
On extrait alors une petite partie de graisse dans une autre partie du corps que l’on injecte ensuite dans les seins. Les femmes qui désirent diminuer les amas graisseux à certains endroits du corps peuvent préférer cette méthode. On peut alors prélever au niveau des cuisses, des fesses ou encore du ventre.
La douleur au niveau des seins est moins présente lors d’un lipofilling, car l’intervention est moins invasive. Cependant, des douleurs peuvent se manifester dans les zones de prélèvement de la graisse.
Il est aussi possible de combiner la pose d’implants au lipofilling.
Le lifting mammaire
Ici, on ne gagne pas en volume et il n’y a pas de prothèse mammaire. Il s’agit de retirer des excédents de peau afin de remonter la poitrine.
Implants mammaires : risques et complications
La pose d’implants mammaires n’est pas un acte anodin. Comme tout acte chirurgical, cette intervention peut causer des complications. Au niveau local, ou sur l’ensemble de l’organisme.
Les complications sont bien souvent multi-symptomatiques. Cela rend alors le diagnostic difficile et peut vous placer dans une errance thérapeutique parfois très longue.
Les complications locales
Elles sont très variables :
- inflammation importante,
- un hématome qui ne se résorbe pas,
- une infection,
- ou encore, une perforation de la prothèse.
Dans certains cas, les douleurs liées à une perforation ne sont pas identifiées rapidement. En effet, un choc, même léger, peut être la cause de cette perforation, même minime. Les douleurs peuvent ainsi apparaître plusieurs années après la pose des prothèses.
Les coques de prothèses mammaires
On les appelle contractures capsulaires, capsulites rétractiles ou encore coques. Il s’agit de la complication la plus classique de la chirurgie mammaire.
Une coque, c’est une réaction normale de votre organisme. Lorsque ce dernier reçoit un corps étranger comme une prothèse, il va essayer de l’isoler. Pour cela il crée une membrane appelée capsule péri prothétique.
Les coques, ou capsules, autour des prothèses sont donc normales, on parle de coques de grade 1.4
Dans certains cas en revanche, ces coques deviennent trop rigides. Cela peut modifier la forme du sein, le durcir et dans les cas les plus avancés, déplacer l’implant. Des douleurs accompagnent bien souvent la formation de coque.
Les complications systémiques
On assiste parfois à un suintement progressif des prothèses dû à une dégradation de leur enveloppe. Une partie de la substance de la prothèse passe alors dans le sang.
Ce qui peut provoquer une horde de symptômes, à distance de la poitrine.
Symptômes
On compte notamment :
- Douleurs articulaires et musculaires
- Maux de têtes
- Troubles digestifs et gastro-intestinaux
- Démangeaisons, éruptions cutanées
- Fatigue chronique
- Troubles cognitifs : brouillard cérébral, difficulté de concentration, perte de mémoire, etc.
- Peau, yeux, bouche, cheveux secs
- Paresthésies dans les membres : fourmillements, engourdissements, etc.
- Baisse de la libido
- Acouphènes, bourdonnement dans les oreilles
- Palpitations cardiaques, essoufflements
- Insomnies
- Dérèglement hormonal
- Intolérances et allergies alimentaires soudaines
- Ganglions lymphatiques enflés et sensibles dans la région mammaire, les aisselles, la gorge, le cou ou l’aine
- Gain ou perte de poids
- Vertiges
- Douleurs chroniques au dos et aux cervicales
- Vieillissement prématuré
- Etc.
Manifestations
Lorsque ces signes apparaissent, c’est généralement sur le long terme, plusieurs années après l’intervention chirurgicale.
Ces troubles touchent de nombreux systèmes et s’apparentent parfois à ceux de maladies auto-immunes ou à des troubles chroniques. Comme la fibromyalgie, la fatigue chronique, le lupus, la maladie de Lyme, la sclérose en plaques, etc.
Augmentation mammaire : vos douleurs sont-elles normales ?
La réponse est simple : il n’est JAMAIS normal d’avoir mal.
Les douleurs mammaires en post opératoires sont fréquentes, mais elles peuvent être inquiétantes. Votre médecin peut alors effectuer un examen pour vérifier que les prothèses sont bien en place. Et ce, en dehors de vos rendez-vous de suivi avec votre chirurgien·ne.
Si vos douleurs persistent et que le volume de vos seins augmente, vous pouvez effectuer une radiographie de contrôle.
Une seconde chirurgie mammaire peut être proposée en cas de formation de coques trop importantes (de grades 3 ou 4).
En cas de doute, contactez sans tarder le·a chirurgien·ne qui vous a opéré.
Douleurs liées aux implants mammaires : pensez ostéopathie
L’ostéopathie permet de :
- préparer votre corps à l’opération,
- récupérer de manière optimale,
- réduire les douleurs,
- améliorer la cicatrisation
- vous réapproprier votre corps et vos sensations.
Il est nécessaire d’écarter au préalable toutes complications avec votre chirurgien·ne en amont.
Limiter la formation d’adhérences cicatricielles
Les adhérences cicatricielles sont des bandes fibreuses qui se forment lors du processus de cicatrisation, à la suite d’une incision.
Les adhérences peuvent être plus ou moins profondes. Cela dépend de la localisation de l’incision, ou de l’emplacement de la prothèse : en avant ou en arrière du muscle.
Adhérences en fonction du type d’incision
Afin de dissimuler au mieux la cicatrice, l’incision qui permet d’introduire la prothèse mammaire est faite à certains endroits précis, notamment pour :
- La voie axillaire : l’incision est sous le bras, dans l’aisselle. Les adhérences peuvent limiter le mouvement d’écartement du bras et de l’épaule.
- La voie sous-mammaire : l’incision est dans le sillon situé sous le sein. Les adhérences peuvent tirer sur les côtes sur lequel s’insère le diaphragme. Cela peut générer des douleurs ou un manque d’amplitude lors de la respiration.
- La voie aréolaire : l’incision est au-dessus ou en dessous de l’aréole du mamelon. L’impact des adhérences est moindre avec cette incision aréolaire.
Lorsque la prothèse est rétromusculaire, derrière le muscle, les adhérences peuvent toucher le tissu musculaire. Cela peut alors limiter la capacité de mouvement des bras, des épaules, des côtes, etc.
Lors d’une pose de prothèse en avant du muscle, les adhérences sont moins profondes.
Vers une meilleure cicatrisation
Après votre opération, l’ostéopathe travaille sur différents systèmes ce qui vous permet une meilleure cicatrisation. Iel utilise des techniques douces de relâchement tissulaires, souvent à distance de la cicatrice.
Votre praticien·ne peut aussi vous conseiller des exercices d’automassage à terme, lorsque votre cicatrice est moins enflammée. Ils sont à effectuer directement sur la cicatrice afin d’éviter au maximum les adhérences cicatricielles.
Bouger comme avant
Lever les bras peut être très difficile, et surtout, très douloureux5. C’est votre muscle pectoral qui s’insère sur votre épaule qui provoque ces douleurs et comme un manque de force.
Pour soulager la douleur, l’ostéopathe s’assure, tout en douceur, de la bonne mobilité de votre épaule. Ce qui évite de tirer sur la prothèse et la cicatrice.
De nombreuses structures inspectées
L’ostéopathe s’intéresse également à votre bassin qui peut maintenir l’épaule vers le bas par l’action des muscles qui s’insèrent dessus.
Vous pouvez aussi avoir des douleurs lombaires. Cela peut venir de votre position allongée sur la table d’opération. Position qui, sur la durée, n’est pas forcément bonne pour vos lombaires. Mais aussi de cette nouvelle posture à laquelle il faut vous habituer.
Tout un équilibre à revoir
Votre équilibre postural se modifie après une augmentation mammaire. Il est donc normal de ressentir des tensions pendant plusieurs semaines/mois après l’intervention.
Pour vous aider à vous habituer à cette nouvelle posture, l’ostéopathe travaille ici sur l’axe pied, genou, cheville, bassin et crâne.
Un drainage optimal pour récupérer au mieux
Le phénomène inflammatoire provoqué par l’opération peut entraîner de l’inconfort, notamment pour dormir.
Grâce à des techniques de drainage, l’ostéopathe peut réduire l’effet inflammatoire. Ce qui permet une meilleure récupération suite à l’anesthésie car votre corps élimine mieux les résidus liés à celle-ci.
Pour ce faire, l’ostéopathe travaille notamment sur votre diaphragme et sternum. Cela permet d’améliorer le travail de pompe respiratoire et circulatoire, nécessaire au bon drainage lymphatique.
Accepter un nouveau soi
La pose d’implants est synonyme de transformation physique, et parfois de bouleversements psychologiques et émotionnels.
S’habituer à son nouveau corps n’est pas toujours facile. Et cela peut être source de stress et d’angoisse, alors majorés par l’apparition de douleurs.
L’accompagnement en ostéopathie permet également un cheminement vers l’acceptation de soi. Diverses techniques permettent de mieux habiter son corps.
Cet accompagnement peut vous permettre de retrouver confiance en votre capacité à bouger à nouveau comme avant. Mais aussi, à vous défaire d’ancrages émotionnels parfois anciens et/ou inconscients, parfois ravivés par ce changement.
Notes et réferences
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- https://fr.statista.com/statistiques/591123/chirurgie-esthetique-seins-france/↩
- https://www.prnewswire.com/news-releases/la-derniere-etude-mondiale-de-l-isaps-revele-une-augmentation-continue-de-la-chirurgie-esthetique-dans-le-monde-832896967.html ↩
- https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2569689-ptose-mammaire-prise-en-charge-seins-qui-tombent-chirurgie/↩
- https://www.augmentation-mammaires.com/traitement-coque-prothese-mammaire/↩
- https://victoire.fit/augmentation-mammaire-et-musculation/↩
J’ai reçu un traitement d’ostéopathie pour corriger des ballonnements après les repas et un mal à l’estomac. J’ai eu plusieurs manipulations au niveau du nombril de chaque côté. Le lendemain et l’autre jour suivant j’ai tellement eu de mal pour avoir de la difficulté à marcher. Est-ce normal, car j’ai peur d’y retourner.
Bonjour Mme Roy,
Nous vous remercions de partager votre expérience.
Il est normal de ressentir des douleurs après une séance en ostéopathie. C’est ce qu’on appelle un effet rebond (un article y est consacré sur le blog : ). Le corps doit s’adapter aux changements induits par le traitement en ostéopathie et cela peut provoquer pendant 48 à 72h (parfois un peu plus) des gênes ou des douleurs. Pour pallier cela, nous assurons un suivi par mail après chaque séance en ostéopathie afin de permettre à nos patients de faire part de leur ressenti après la séance. Nous vous conseillons de contacter l’ostéopathe pour faire part de vos craintes.
Cordialement,
Cabinet B ostéopathie
« Merci pour votre article. C’est la 1èref ois que je lis quelque chose qui m’éclaire sur mes douleurs. Personne ne m’avait prévenu. J’ai fait cette opération tout juste adulte, je la regrette pour diverses raisons. Mais personne ne m’avait permis de faire le lien entre prothèse mammaire douleur physique et morale.
Je suis très perturbée maintenant car j’ai l’impression que tout prend sens. Il me reste à prendre une décision pour y mettre un terme. Mais comment gérer mon estime de moi, alors que je me prépare à nouveau à un changement physique important si je retire les prothèses ?
C’était un gros complexe chez moi avant.
Laurie »
Bonjour Laurie,
Nous vous remercions pour votre commentaire.
Nous comprenons votre inquiétude par rapport au retrait de vos prothèses mammaires.
En effet si vous n’êtes plus en accord avec l’opération que vous avez faite cela peut entraîner des douleurs morales et physiques.
Il peut être intéressant de commencer un suivi psychologique afin de vous préparer au mieux à cette nouvelle opération.
Une prise en charge chez un·e ostéopathe vous aidera également à préparer votre corps à l’opération, à mieux récupérer à la suite de l’opération, aider à la cicatrisation, réduire vos douleurs et vous permettre de vous réapproprier votre corps.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Merci je croyais devenir folle. J’ai une douleur apres augmentation mammaire, mais personne ne m’en avait parlé. Enfin si poru apres l’opération pas 1 an après !!!!
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire et votre partage d’expérience.
Il arrive effectivement que les douleurs arrivent tardivement après l’opération.
Nous vous conseillons de vous rendre chez votre chirurgien·ne qui vous a opéré afin d’effectuer un contrôle des prothèses. Il n’est jamais “normal” d’avoir mal, il est donc préférable de consulter lorsque des douleurs arrivent.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
J’ai une douleur pectoral après augmentation mammaire. Mais je ne souhaite pas enlever mes prothèses. Surtout que j’ai une douleur que d’un côté, ça vous semble possible ? Vous avez déjà eu ce cas de figure ?
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire,
Il est possible d’avoir des douleurs uniquement d’un côté. La douleur ne signifie pas que la prothèse doit être enlevée absolument. Nous vous conseillons de vous rendre chez votre chirurgien·ne afin de faire un contrôle de vos prothèses. Dans un second temps, vous pouvez vous rendre chez votre ostéopathe afin de soulager vos douleurs.
Cordialement,
L’équipe du cabinet B.
je reflecho a l operation car ça coute cher et ça fait mal apres mais cest la premire fois que je lis que ça peut faire mal longtemps. je ne suis pas experte sur les operations j hesite encore pouvez vous me dire si il y a une difrence entre la douleur implant mammaire et la douleur augmentation mammaire sous muscle ? jaimerai pas avoir mal svp
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire.
Lors de la pose d’implant mammaire, deux types de poses se présentent : rétro-musculaire ou pré-musculaire. La pose rétro-musculaire implique une déchirure du muscle ce qui peut entraîner plus de douleurs à la suite de l’opération.
Ces détails là sont à discuter avec votre chirurgien·ne dans le cas où vous décidez de vous faire opérer. Vous pouvez également effectuer une première consultation afin de connaître les détails de l’opération.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
just pour etr sur : prothese mammaire douleur/implant mammaire douleur/augmentation mammaire douleur tout sa c’est pareil ? la prothese mammaire c’est comme l’implant mammaire et comme l’implant mammaure ? ma fille di quelle a mal depuis l opration mais je c’est pas laquel opration elle a fais. ka douleur c’est pour les trois ?
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire.
Prothèses et implants mammaires sont synonymes : ce sont les poches souples qui sont utilisées dans le cadre d’une augmentation mammaire.
Si votre fille se plaint de douleurs mammaires depuis l’opération, nous lui conseillons d’effectuer un contrôle de ses prothèses chez le·la chirurgien·ne qui l’a opérée.
Dans un second temps, une prise en charge en ostéopathie peut l’aider à soulager ses douleurs liées à l’augmentation mammaire.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
« Bonjour,
Mon chirurgien ne m’avait pas prévenu d’éventuelle douleur après augmentation mammaire sous muscle. Pensez-vous que des alternatives existent pour me soulager ? J’ai économisé très longtemps pour cette opération. Esthétiquement le résultat est à la hauteur de mes attentes, je suis beaucoup plus à l’aise avec mon corps. Seulement la douleur m’handicape, notamment dans ma pratique du sport. Je vois que je commence à prendre du poids. Je me débarrasse à peine d’un complexe que j’en vois un autre pointer son nez.
Merci d’avance.
Vanessa »
Bonjour Vanessa,
Merci pour votre commentaire.
Nous comprenons votre inquiétude face à la douleur et à l’apparition d’un nouveau complexe.
Dans un premier temps, nous vous conseillons de contrôler chez votre chirurgien·ne vos prothèses afin de mieux comprendre votre douleur.
Dans un second temps, une prise en charge chez l’ostéopathe vous permettra de soulager vos douleurs et de reprendre votre pratique sportive.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
« Merci pour votre article détaillé au sujet des prothèses mammaires douleurs. Pourquoi personne n’en parle ? Car tout le monde s’en fout du corps des femmes et de nos douleurs.
Ma fille veit se faire opérer, j’essaye de la dissuader mais elle va avoir 18 ans, je n’aurai plus le choix pour elle. Je vais lui faire lire votre article, pour qu’elle comprenne que ce n’est pas anodin, que la douleur ce n’est pas qu’en post-op.
Merci, je croise les doigts.f
«
Bonjour,
Merci pour votre commentaire,
Nous comprenons votre inquiétude pour votre fille.
En effet, la pose de prothèses mammaires est une décision importante et qui ne doit pas être prise à la légère.
Les douleurs ne sont pas systématiques mais il y a des risques comme pour toutes les opérations.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Avez-vous déjà rencontré des femmes dont l’augmentation mammaire douleur 1 an après ? Je n’ai rien eu au début. Mais depuis quelques semaines j’ai très mal. J’ai mal au dos aussi depuis l’opération. Ça vous semble cohérent ?
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire.
Il est difficile de répondre à votre question sans plus de précisions.
Nous vous conseillons de vous tourner vers votre chirurgien·ne afin de contrôler vos prothèses, toute douleur est à prendre en considération.
Vous pouvez également débuter un suivi en ostéopathie afin de soulager vos douleurs.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.