Des douleurs ligamentaires et articulaires peuvent apparaître durant votre grossesse.
Parfois, notamment lors du deuxième trimestre, ces tiraillements peuvent être particulièrement intenses. Surtout au niveau du bassin et du pubis.
Vous pouvez aussi connaître une sensation de brûlure au niveau de l’aine. Ou encore de pesanteur au niveau du bas ventre, comme si bébé allait arriver plus tôt que prévu. Marcher peut être difficile. De nombreuses femmes enceintes ont le sentiment de marcher “comme un canard”.
Vous avez sûrement entendu dire que ces douleurs ligamentaires sont normales chez la femme enceinte.1 Mais c’est faux.
Elles sont fréquentes oui. Pour autant, il n’est jamais normal d’avoir mal.
Ces douleurs peuvent être le signe d’un syndrome de Lacomme. S’il reste bénin, il est particulièrement douloureux et invalidant. Mais il est possible de le soulager naturellement ainsi que les douleurs qu’il occasionne.
Syndrome de Lacomme : définition et symptômes
Syndrome de Lacomme : qu’est-ce que c’est ?
Comme beaucoup de syndromes, il porte le nom du médecin qui l’a découvert. Ici en l’occurrence, Maurice Lacomme, obstétricien français.
On l’appelle aussi syndrome ostéo-musculo-articulaire abdomino-pelvien bénin. On parle également de douleurs ostéo-articulaires de la ceinture pelvienne.
Près de 20% des femmes enceintes souffrent du syndrome de Lacomme durant leur grossesse. Il survient généralement à partir du 2ème trimestre de grossesse et est exacerbé au cours du 3ème trimestre.2
Il est principalement caractérisé par des douleurs ligamentaires au niveau du bassin et de la symphyse pubienne. La symphyse pubienne est une structure qui articule les deux branches du pubis.
“ Souvent, lorsque les patientes arrivent en consultation, le syndrome de Lacomme n’est pas diagnostiqué. Les douleurs liées à la grossesse sont souvent banalisées, on entend beaucoup qu’il est normal d’avoir mal… Ce n’est pas le cas, il n’est jamais normal d’avoir mal !”
Antoinette Gueritaine
Spécialiste de l’ostéopathie gynécologique à Toulouse
Syndrome de Lacomme : les symptômes
Les manifestations du syndrome de Lacomme et leurs intensités peuvent être particulièrement variables d’une femme à l’autre.
Les symptômes les plus couramment décrits sont :
- De fortes douleurs au niveau de la symphyse pubienne, du bassin, du pubis et du périnée
- Des douleurs qui peuvent irradier au niveau de l’aine, des cuisses et des fesses
- Une sensation de pesanteur dans le bas du ventre
- L’impression que l’accouchement est proche, du fait des douleurs qui imitent les contractions
Ces douleurs apparaissent souvent lorsque vous changez de position, ou plus simplement lorsque vous êtes en mouvement. Elles sont parfois si violentes qu’elles peuvent vous empêcher de marcher correctement, ou encore de bouger tout simplement.
Lacomme : un syndrome qui inquiète
Comme beaucoup de douleurs et affections qui touchent les femmes, ce syndrome a longtemps été considéré comme typique de la grossesse. C’est-à-dire “normal”. Les douleurs qu’il provoque ont elles aussi longtemps été minimisées. Qualifiées de mineures, elles peuvent pourtant vous faire vivre un véritable calvaire.
Le manque d’informations, et d’accompagnement sur ce sujet peut conduire à un état d’anxiété important. En effet les douleurs, les difficultés à bouger, associées à ce qui ressemble à des contractions, peuvent être source d’inquiétude durant la grossesse. Beaucoup de femmes enceintes atteintes du syndrome de Lacomme relatent qu’elles ont l’impression que “tout va tomber”. La perspective d’une naissance prématurée est en général l’inquiétude première. Vient ensuite le risque d’être alitée durant le reste de sa grossesse.
Sujet encore moins évoqué, ce “symptôme de grossesse” peut en fait perdurer durant le post-partum. En effet, pour 10%3 des femmes, il persiste jusqu’à 18 mois après l’accouchement.
Syndrome de Lacomme : les causes
Plusieurs causes et hypothèses sont avancées pour expliquer le syndrome de Lacomme, celles-ci sont essentiellement mécaniques et hormonales.
Un corps qui change
Ces douleurs semblent dues à une adaptation de l’organisme durant la grossesse, parallèlement à l’évolution de l’utérus gravide. On parle d’utérus gravide pour qualifier un utérus contenant une grossesse ou des éléments de celle-ci, tels que l’embryon, le placenta, etc.
Votre utérus grossit pendant votre grossesse et votre corps doit s’adapter à ce changement. Mais aussi au poids de votre bébé. Votre volume abdominal augmente en effet progressivement, et apporte différentes contraintes qui peuvent induire et expliquer le syndrome de Lacomme.
Et ces contraintes peuvent être nombreuses : pression intra-abdominale, poids utérin sur le bassin ou encore l’évolution des tensions ligamentaires. D’autres facteurs sont potentiellement mis en cause. Notamment une compression vasculaire des veines responsables de la vascularisation des muscles du bassin.
Ces hormones qui vous veulent du bien
Durant votre grossesse, des variations hormonales peuvent causer certains maux de grossesse.
Néanmoins ces variations hormonales ont pour but de vous préparer à l’accouchement. C’est notamment le cas de la relaxine, hormone qui intervient sur l’élasticité de vos ligaments. Cela prépare ainsi l’ouverture et l’assouplissement de votre bassin pour mettre bébé au monde.
Lorsque ces ligaments gagnent trop en souplesse, ils ne peuvent plus assurer leur rôle de soutien et de maintien au niveau des articulations du bassin. Soit les sacro-iliaques, le pubis, les hanches et les lombo-sacrées.
Prédispositions et facteurs de risque
Il existe également certaines prédispositions à l’apparition du syndrome de Lacomme.
Il peut s’agir d’un terrain douloureux déjà présent, comme des lombalgies, notamment si elles apparaissaient fréquemment durant vos règles. Ou encore des douleurs chroniques suite à un traumatisme du bassin.
Mais le syndrome de Lacomme peut apparaître même si vous avez déjà été enceinte. Des grossesses précédentes ont pu causer une perte d’élasticité des structures du bassin et entraîner des lésions tissulaires.
L’hypokaliémie mise en cause
Les hormones et l’aspect biomécanique ne semblent pas être les seuls à blâmer. Certaines études tendent à montrer que l’hypokaliémie pourrait être à l’origine de ce syndrome. Il s’agit d’un manque de potassium dans le plasma sanguin.4
Syndrome de Lacomme : diagnostic et traitements
Comment être sûre qu’il s’agit bien du syndrome de Lacomme ?
Le diagnostic est clinique. Lors de l’auscultation, votre médecin recherche la sensation de pesanteur douloureuse dans votre bas-ventre avec l’impression que bébé est très bas.
Ensuite, identification des douleurs qui irradient dans les cuisses et les fesses. Ces douleurs peuvent ressembler à des coups de poignard. Et enfin, votre médecin examine également votre capacité à marcher et à changer de position sans gêne ni douleur.
Un examen pratique de palpation en interne de l’utérus et de la symphyse pubienne peut aussi être effectué. Et ce, afin de définir au mieux la localisation de vos douleurs.
Néanmoins si vous n’êtes pas à l’aise avec ces techniques internes vous avez tout à fait le droit de les refuser. Vous êtes seule décisionnaire des gestes qui peuvent être effectués sur votre corps. De plus, elles ne sont pas primordiales pour poser le diagnostic.
Les tests actifs
Votre médecin peut ensuite réaliser des tests dits « actifs ». Il s’agit ici de provoquer la douleur :
par la contraction des muscles qui s’insèrent sur le pubis,
ou encore, par l’étirement des ligaments du bassin par la mobilisation des pièces osseuses.
Votre médecin peut avoir recours au « Patrick’s Faber test ». Ce test consiste à exercer une pression sur la face interne du genou lorsque vous êtes allongée sur le dos. Tout en reposant votre talon sur votre genou opposé. Le test est positif si vous ressentez une douleur au niveau des ligaments sacro-iliaques ou dans la symphyse pubienne.
Écarter les autres pathologies
Les douleurs et symptômes apportés par le syndrome de Lacomme varient d’une femme à l’autre. Mais ils peuvent aussi évoquer d’autres pathologies.
Ainsi, le diagnostic du syndrome de Lacomme ne peut être posé qu’après l’élimination de toutes les autres possibilités liées aux douleurs lombaires ou abdomino-pelviennes durant la grossesse. Il conviendra notamment d’écarter :
- une sciatique
- une cruralgie
- des troubles digestifs, et notamment la constipation
- une lésion tumorale
- la spondylarthrite ankylosante
Le diagnostic est alors posé en l’absence de symptomatologie associée et dans le cadre d’un examen obstétrical normal.
Quels sont les traitements disponibles contre le syndrome de Lacomme ?
Bien que le syndrome de Lacomme soit particulièrement douloureux, il s’agit d’un trouble bénin. Il ne présente aucun danger pour votre bébé ou vous-même.
A ce jour, il n’existe aucun traitement pour ce symptôme. Bien souvent, le repos est la première et seule chose qui vous sera conseillée.
Votre médecin peut éventuellement vous prescrire du paracétamol, bien qu’il ne soit pas forcément adapté à l’intensité des douleurs. Ou encore, des vitamines. Nous vous conseillons de faire le point directement avec votre médecin, gynécologue obstétricien·ne ou sage-femme.
Soulager le syndrome de Lacomme de manière naturelle
La majorité des traitements médicamenteux sont contre-indiqués durant la grossesse. Et dans le cas du syndrome de Lacomme, ils sont de plus bien souvent inefficaces. Il est néanmoins possible de soulager vos douleurs naturellement.
L’ostéopathie apporte notamment des solutions naturelles efficaces et permet de réduire les douleurs.
Choisissez un·e ostéopathe spécialiste du suivi de la femme enceinte durant votre grossesse. Son expérience, ses formations, ses connaissances et compétences vous assurent un accompagnement davantage spécifique.
Syndrome de Lacomme et ostéopathie
Réel·le allié·e durant votre grossesse, l’ostéopathe est capable de soulager la douleur grâce à des techniques douces de drainage.
Des techniques douces, adaptées à votre situation
Vers une meilleure circulation sanguine
Pendant la grossesse, le bassin peut être congestionné, ce qui peut alors perturber la bonne circulation du sang. De ce fait, lorsqu’une inflammation survient, celle-ci aura tendance à persister. Le drainage et le fait de tendre vers une meilleure circulation permet de limiter l’inflammation et donc les douleurs.
Un soulagement rapide des structures mises à mal
L’ostéopathe travaille également au relâchement des structures du bassin pour redonner un équilibre à celui-ci. Ce qui vous permettra alors de marcher plus facilement, et de bouger sans douleur.
Un suivi tout au long de la grossesse
L’ostéopathie est très efficace en période de crise, pour soulager la douleur. Mais elle permet également un suivi régulier tout au long de la grossesse. Les variations hormonales associées au fait que bébé gagne en place et en poids, peuvent exacerber les symptômes du syndrome.
Pour éviter cela, l’ostéopathe prépare votre bassin, et votre corps de manière plus générale, à l’accouchement.
Syndrome de Lacomme : que fait l’ostéopathe ?
Les techniques utilisées par l’ostéopathe sont exclusivement externes, pas de toucher vaginal. De plus, ces techniques sont totalement sécuritaires pour la santé et le bien-être de bébé.
Lever les tensions subies par l’utérus
Le système de soutien intrinsèque concerne les ligaments propres à la fixation de l’utérus. Il s’agit des lames sacro-recto-génito-vésico-pubiennes, qui entourent celui-ci. Toute tension exercée sur ces lames peut déséquilibrer les lignes de force du bassin osseux. Ce qui engendre alors une traction sur leur point d’ancrage.
Votre utérus doit être mobile et disposer d’un système d’attache relativement souple. Pour cela l’ostéopathe va rétablir la biomécanique physiologique de votre utérus.
Pour ce faire, l’ostéopathe pratique une mobilisation globale de l’utérus. Cela permet un étirement général des ligaments utérins par l’intermédiaire du bassin. Cette technique lève les compressions douloureuses qui s’exercent sur la veine cave. Cette veine de taille relativement importante, est logée principalement dans votre abdomen.
Choyer le bassin
Le bassin est une structure osseuse particulièrement complexe. Il s’adapte en permanence, spécialement chez la femme enceinte.
Des traumatismes anciens, comme une mauvaise chute sur les fesses par exemple, peuvent avoir une incidence lors de votre grossesse. En effet, un bassin qui ne bouge pas de façon optimale peut exacerber les contraintes sur les ligaments, qui se relâchent sous l’effet du système hormonal. Ce qui peut alors potentiellement augmenter les douleurs.
Une meilleure mobilité du bassin, du sacrum et des ligaments sacro-iliaques devrait vous faire gagner en confort.
Soulager les lombaires
Les douleurs lombaires sont fréquentes pendant la grossesse, d’autant plus en cas de syndrome de Lacomme.
Evaluer la douleur et identifier le chemin qu’elle emprunte peut aider à déceler une sciatique de grossesse. Si la douleur irradie vers le bas, vers les membres inférieurs, cela peut en être le signe.
La bonne mobilité des vertèbres lombaires est particulièrement importante dans le positionnement de l’utérus. Notamment car elles peuvent venir tirer sur le ligament lombo-ovarien. Un travail spécifique libère les éventuels blocages lombaires, qui peuvent avoir une origine sous-jacente. C’est la raison pour laquelle votre ostéopathe vérifie la bonne mobilité de l’ensemble de votre colonne vertébrale.
Une attention particulière pour le périnée
Votre périnée a un rôle important, notamment celui de soutenir les organes contenus dans votre bassin. Durant la grossesse, il est donc très sollicité.
Afin d’éviter un relâchement trop important du périnée, un travail sur les attaches du bassin et/ou du sacrum est réalisé. Ce qui aide à tonifier votre périnée tout en améliorant son soutien lors du syndrome de Lacomme.
Soulager la pression abdominale
Deux axes principaux permettent de réduire la pression intra-abdominale :
- retrouver un transit normal : la pression qu’exerce le poids de votre bébé vers le bas augmente l’étirement ligamentaire. Des épisodes de constipation peuvent exacerber cette pression. Que ces épisodes aient lieu durant votre grossesse, ce qui est très fréquent, ou qu’ils aient été déjà présents avant. Des techniques viscérales seront ici très efficaces.
- retrouver une capacité respiratoire optimale : votre diaphragme peut souffrir de spasmes. Sa capacité respiratoire est alors limitée puisque vos poumons ne se vident plus en totalité.
Réduire la pression intra-abdominale permet de diminuer la poussée de bébé vers le bas, et donc cette sensation de pesanteur.
S’assurer du fonctionnement optimal du centre intégrateur
La sécrétion hormonale permise par le centre intégrateur, soit le complexe hypothalamo-hypophysaire, peut être perturbée par les structures que l’on trouve à proximité. Mais aussi à distance.
Ce centre intégrateur agit comme le chef d’orchestre de la régulation de votre système hormonal. Celui-ci peut être mis à mal de multiples manières. La prise de certains médicaments avant votre grossesse peut par exemple avoir une incidence lors de celle-ci.
Il peut également s’agir d’un défaut de mobilité des os du crâne, que l’on retrouve à proximité de ce centre. Ou encore des membranes qui les tapissent. L’ostéopathe teste alors les os du crâne et évalue la capacité des membranes à se mouvoir. Notamment la dure-mère, membrane fibreuse qui entoure de nombreux éléments du corps. Ce sont ces membranes qui induisent les mouvements des os.
Assurer un suivi après la grossesse
L’ostéopathie reste pertinente durant le post-partum, notamment pour réduire d’éventuelles douleurs. Elle aide également votre bassin à retrouver peu à peu ses « caractéristiques » d’origine et son « état » initial. Un travail sur le périnée, le bassin et les organes viscéraux permet également de le soulager et d’éviter des troubles fréquents durant le post-partum. Notamment l’incontinence urinaire, l’incontinence anale ou encore les hémorroïdes post-partum.
Des exercices spécifiques à faire à la maison peuvent vous aider à soulager vos douleurs et réduire certains maux.
L’ostéopathie, une médecine complémentaire
La prise en charge par un·e ostéopathe dès le premier mois de grossesse permet d’éviter l’apparition du syndrome de Lacomme. Néanmoins, il reste indispensable de consulter votre gynécologue, obstétricien·ne ou médecin en premier lieu.
Ceci permet notamment d’exclure les complications obstétricales, comme un accouchement prématuré, une grossesse extra-utérine, etc..
Notes et réferences
Une urgence ? Besoin d’un rendez-vous aujourd’hui ?
RDV rapide avec un·e ostéopathe. Soin de qualité, et accompagnement dans la durée. Depuis 15 ans, cet engagement fait notre réputation.
- https://www.pourlascience.fr/sd/evolution/la-taille-du-bassin-feminin-est-modulee-par-les-hormones-au-cours-de-la-vie-12312.php↩
- https://www.femmeactuelle.fr/enfant/grossesse/syndrome-de-lacomme-quelles-sont-les-causes-de-cette-maladie-chez-la-femme-enceinte-2102855↩
- http://docnum.univ-lorraine.fr/public/BUMED_MESF_2014_CONTRERAS_SOPHIE.pdf↩
- H . De Tourris, R. Henrion, M. Delecour. Manifestations ostéo-musculo-articulaires. Abrégé illustré, Gynécologie et obstétrique, 6e édition. Éditions Masson ; 1994.↩
Bonjour,
Je suis actuellement enceinte de 7 mois déjà, j’ai souvent des tiraillements au niveau du bassin et du pubis. D’après les recherches que j’ai faite, il se pourrait que j’ai une grossesse syndrome de lacomme ? Je peux consulter un ostéo pour soulager mes douleurs ?
Bonjour,
Merci pour votre commentaire,
Effectivement, l’ostéopathie est une prise en charge indiquée dans le syndrome de Lacomme. Nous vous conseillons de consulter un·e ostéopathe spécialisé dans la prise en charge de la femme enceinte.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
C’est ma 3ème grossesse et j’ai des grosses douleurs dans le bas du ventre depuis maintenant 2 semaines. J’en suis à mon 5ème mois. Mon gynéco me dit que c’est le poids du bébé mais je n’en suis pas sûre… Ma mère dit que c’est le syndrome de lacomme femme enceinte car elle l’a également eu, mais ça m’étonne comme je n’ai pas eu ça avec mes autres bébés.
Bonjour,
Nous vous remercions pour votre commentaire.
Effectivement, il est possible que vous souffriez du syndrome de Lacomme. Nous vous conseillons de donner un second avis afin de valider ou non cette hypothèse.
Le syndrome de Lacomme n’est pas systématique à chaque grossesse, il est tout à fait possible que vous en souffriez aujourd’hui alors que vous ne connaissiez pas ces symptômes lors des grossesse précédentes.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Je suis enceinte syndrome de lacomme a lhorizon dapres mon gyneco car jai super mal bas de ventre comme si jallais accouché. je n’en suis qu a 28 sa, eske je pe consulter un osteo pour soulagr douler ? Pas de risques POUR bb ? MERCI
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Vous pouvez tout à fait consulter un ostéopathe durant votre grossesse, il n’y a pas de danger pour votre enfant.
L’ostéopathie permet de soulager efficacement les douleurs liées au syndrome de Lacomme.
Nous vous conseillons de consulter un·e ostéopathe spécialisé·e dans la prise en charge de la femme enceinte.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Est-ce que le syndrome de lacomme début de grossesse est possible ? Enceinte que depuis 6 semaines, mais à cause des douleurs fréquentes au pelvis, je m’inquiète un peu. Merci
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Généralement, le syndrome de Lacomme survient lors du second trimestre de grossesse.
Nous vous conseillons de consulter votre médecin ou votre sage-femme afin de lui faire part de vos symptomes.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Bb bouge fort, est-il possible que douleur aine grossesse lacomme soit lié ou pas du tout ? J’en suis à 30sa et jai comme des aiguilles qui font tres mal. comment soulager ? Quand jeternue jai mal aussi. Jje peux pas bouger fort sans avoir des douleurs a l’aine.
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Il est possible que les douleurs que vous ressentez au niveau de l’aine soit liées au syndrome de Lacomme mais nous ne pouvons pas le confirmer sans auscultation.
Nous vous conseillons d’en discuter avec votre gynécologue ou votre sage-femme.
En cas de syndrome de Lacomme, un suivi ostéopathique permet de soulager efficacement les douleurs.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Bonjour, j’ai des douleurs lancinantes au bassin et ça empire. J’aimerais connaitre le lien entre accouchement prématuré, lacomme et grossesse ? On m’a prescrit un antalgique mais je suis contre la médication pendant ma grossesse. D’ailleurs j’ai pris un RDV avec un ostéopathe pour voir ce qu’il peut faire pour me soulager. Je voudrais un accouchement tranquille et sans pression…
Bonjour,
Merci d’avoir lu et commenté notre article.
Il n’y a pas de lien entre le syndrome de Lacomme et l’accouchement prématuré. Bien qu’il soit très douloureux, le syndrome de Lacomme est bénin et n’entraîne aucun risque pour vous comme pour votre enfant.
L’ostéopathie permet de réduire efficacement les douleurs liées au syndrome de Lacomme. Un suivi ostéopathique durant la fin de grossesse permet de favoriser un accouchement dans les meilleures conditions.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
J’ai le syndrome de lacomme 4 mois de grossesse. Ma sage femme me dit que ce n’est pas dangereux mais est-ce qu’il peut y avoir des éventuelles complications ? Parfois j’ai dû mal à me lever tellement j’ai mal. J’essaie de me reposer mais ça ne change rien
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Le syndrome de Lacomme n’est pas dangereux, pour vous comme pour votre enfant. Ce syndrome engendre des douleurs importantes mais il est bénin.
Nous vous conseillons de consulter un·e ostéopathe spécialiste de la prise en charge de la femme enceinte. Une prise en charge permet de soulager efficacement les symptômes liés au syndrome de Lacomme.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.
Je suis enceinte et j’ai mal au pubis, tout le bas ventre. Ma sœur a eu le syndrôme de lacomme durant sa grossesse et ma mère m’a aussi confirmé que durant ses 3 grossesses, elle aussi l’a eu. Le syndrome de lacomme grossesse hereditaire ou juste une coïncidence ?
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Il est possible que vous souffriez du syndrome de Lacomme.
Aucun lien héréditaire n’a été mis en cause au sujet du syndrome de Lacomme. En revanche, il concerne 20% des femmes durant leur grossesse.
Cordialement,
L’équipe du Cabinet B.