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Dépression post-partum : ces solutions pour aller mieux, naturellement

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Approuvé par un·e ostéopathe DO

Dans nos sociétés actuelles, l’arrivée d’un enfant est associée à un “événement heureux”. La majorité des femmes considèrent la maternité comme étant la plus belle expérience de leur vie.

Mais pour certaines mamans, la réalité est bien loin de cette image idyllique.

Baby blues ou dépression post-partum ?

On a tendance à utiliser ces deux termes pour définir la même chose, pourtant, il faut bel et bien les différencier.

Le baby blues

Le baby blues, c’est un état émotionnel transitoire, passager, apporté par divers phénomènes physiologiques (comme la fatigue, le bouleversement hormonal, etc.). Il survient généralement dans les trois premiers jours après la venue au monde de bébé. On l’appelle aussi d’ailleurs le « syndrome du troisième jour ».

Ce baby blues peut durer de quelques jours à deux semaines, il s’estompe par lui-même et concernerait près de 8 femmes sur 10 venant d’accoucher.

La dépression postnatale (DPN)

La dépression postnatale (DPN), ou encore dépression post-partum définit, quant à elle, un état dépressif plus important.

Elle survient généralement dans les 4 à 6 semaines après l’accouchement et elle peut s’étendre sur plusieurs mois. Ici, 1 à 2 femmes sur 10 venant d’accoucher seraient concernées.

Dépression après l’accouchement : parlons-en

Dépression post-partum, dépression postnatale, psychose post-partum : peu importe la manière dont on décide d’appeler ce trouble, il nous semble important d’en parler sur le blog.

Pourquoi ? Car la dépression post-partum est bien souvent occultée par les jeunes mamans, qui éprouvent un sentiment de culpabilité et parfois même un sentiment de honte face à cette tristesse ressentie.

Comment dire à ses proches que ça ne va pas alors que la naissance d’un enfant est “censée” être un moment heureux ? Pourquoi est-ce que vous ne ressentez pas la félicité ressentie par vos amies une fois leur bébé dans leur bras ?

Vos ressentis se heurtent aux normes sociales, c’est la raison pour laquelle il peut vous être difficile d’en parler. Pourtant, rien ni personne ne devrait vous dire quoi ressentir. Les émotions sont propres à chacun, cependant, la dépression post-partum est vécue comme un décalage par rapport à la norme sociale.

Un véritable problème de santé publique

Beaucoup de jeunes mamans n’osent alors pas parler de leur mal-être psychologique.

“Pourtant, la dépression post-partum est bien plus qu’un phénomène isolé, il s’agit d’un véritable problème de santé publique, notamment par sa fréquence. On estime que 10 à 20 % des familles en seraient touchées.”
Cécile Gallart, Ostéopathe spécialiste de la femme enceinte à Toulouse

Parfois, cette dépression peut entraîner ce que l’on appelle un état de stress post-traumatique (ESPT), notion que nous abordons également dans cet article.

La principale complication du post-partum ?

Pour ce qui est du diagnostic et du dépistage, ils sont relativement difficiles à mettre en place, notamment en raison de l’étroitesse entre les adaptations normales physiques et psychologiques du post-partum et de la DPN.

“Toutefois, la dépression post-partum doit être prise en compte rapidement et reconnue comme étant la principale complication après l’accouchement : elle ne doit pas être négligée. Tel un effet domino, la dépression post-partum peut être à l’origine d’effets néfastes sur le bébé, sur la maman, sur la relation mère-enfant, sur le couple et parfois même, sur l’entourage familial.” Cécile Gallart

Vers de meilleurs jours

Avec un accompagnement et un soutien adéquat, toute maman peut sortir de cette phase compliquée.

Il s’agit d’un trouble dépressif pour lequel l’ostéopathie à d’ailleurs toute sa place. Mais par quels moyens votre ostéopathe peut vous accompagner dans cette période faite de remaniements ?

C’est ce que nous aborderons dans la seconde partie de cet article. Mais d’abord, entrons dans le vif du sujet et tentons de comprendre ensemble les rouages de la dépression post-partum.

Dépression post-partum : entre adaptations physiques et psychologiques

Les changements physiques

“C’est sûrement sur le plan physique que la période du post-partum amène le plus de changements. Votre corps de femme est dans une phase de transition. Vous avez déjà vécu, durant votre grossesse, de nombreux changements physiques et vous avez dû vous adapter au développement du fœtus”. Cécile Gallart

En fait, durant la grossesse, c’est l’ensemble des grands systèmes physiologiques qui sont mis à l’épreuve : la circulation sanguine, la respiration, la sphère digestive et la posture.

Un corps encore en gestation

Et lors de l’accouchement ? Vous ne portez plus votre enfant, mais votre corps, lui, se retrouve comme s’il était encore en “gestation”. Le retour vers un nouvel équilibre prend alors entre six semaines et trois mois environ.

Un corps qui joue au yoyo

La prise de poids durant la grossesse constitue une adaptation physique très importante : en moyenne, une femme prend entre 10 et 15 kg durant la période de gestation.

Juste après l’accouchement, le corps perd très vite entre 6 et 8 kg (entre le poids du bébé, liquide amniotique, le placenta et les pertes de sang). Puis, on note ensuite une perte pondérale d’environ 10 kg en quelques semaines.
Néanmoins ces chiffres ne sont que des indications, chaque femme perdra le poids de sa grossesse au rythme où son corps pourra le gérer.

La fatigue après l’accouchement

“Après l’accouchement, le sommeil se modifie considérablement. Et cela est vrai pour toutes les jeunes mamans, qu’elles allaitent ou non. La fatigue après l’accouchement vous accompagne au quotidien et il peut vous être très difficile de retrouver votre rythme d’avant.”
Cécile Gallart

Mais la fatigue, c’est quoi au juste ? Et bien, c’est une réaction physiologique normale de votre corps, en réponse à des besoins de sommeil. Le problème, c’est lorsque vous êtes épuisée et que vous n’avez pas la possibilité de vous reposer.

Maman fatiguée : un mot sur les hormones

Les hormones délivrées en pré et post allaitement provoquent une sensation de fatigue pour vous indiquer à vous, jeune maman, de vous reposer. Pour ce qui est des mamans qui donnent le biberon, vous avez aussi besoin de repos, mais vous ne recevez pas les mêmes signaux.

“Le problème est que certaines femmes masquent cette fatigue et s’empêchent de se reposer, ce qui augmente indéniablement le risque de dépression post-partum. On sait en effet aujourd’hui que le manque de sommeil est un élément à prendre en compte dans l’apparition d’un trouble dépressif, quel qu’il soit.”
Cécile Gallart

La naissance : un traumatisme

L’accouchement est vécu différemment pour chacune. Certaines femmes se sont par exemple senties violemment agressées par l’utilisation d’instruments obstétricaux (comme les forceps, les spatules, les ventouses). D’autres ont eu l’impression de ne pas avoir été maître de leur accouchement du fait de la péridurale administrée. D’autres encore sont tristes d’avoir eu recours à une césarienne non planifiée, faite en urgence.

“Des expériences vécues différemment pour chacune, mais un point commun existe : très souvent, en tant que maman, vous tentez tant bien que mal de minimiser votre chagrin. Vous vous rattachez au fait que tout ce que vous avez vécu auparavant était pour le bien de votre enfant.”
Cécile Gallart

Les sentiments refoulés pèsent lourd

Or, le chagrin refoulé augmente la tristesse, l’anxiété, et ce même chagrin, tel un effet boule de neige. Vous pourriez alors vous retrouver dans un engrenage douloureux sur le plan émotionnel, tiraillée entre vos souvenirs éprouvants et l’envie de les minimiser. Mais un chagrin ne se soigne pas en le minimisant, il se soigne en le “digérant”.

Plus facile à dire qu’à faire, nous en avons bien conscience, mais nous vous invitons à continuer votre lecture.

Dépression post-partum : les signaux d’alerte

La dépression postnatale se déclare généralement entre la 4ème et la 6ème semaine après l’accouchement. Mais comment l’identifier ? Qu’est-ce qui doit attirer votre attention ?

Vous devez être vigilante face aux signaux d’alerte présentés ci-dessous (liste non-exhaustive), ils pourraient être la résultante d’un possible mal-être :

  • Épuisement, irritabilité, impatience, humeur dépressive
  • Sentiments de honte, de culpabilité, discours auto-dénigrants
  • Tendance à vous isoler pour ne pas recevoir le jugement d’autrui
  • Sentiment d’avoir perdu le goût de la vie, manque d’envie pour vous investir avec votre bébé
  • Confusion dans vos explications et vos dires
  • Difficultés (voire incapacité) à lâcher prise, à dormir
  • Rigidité dans l’exécution des tâches (les soins au bébé, l’allaitement, etc.)
  • Distanciation marquée envers votre bébé (gestes peu enveloppants, peu rassurants)
  • Idées suicidaires
  • Ressassement constant de l’accouchement qui a été traumatisant (ou non), sous la forme de flash-back, de cauchemars, etc.

Dépression post-partum et État de stress post-traumatique

Il existe des similitudes entre la dépression postnatale et un état de stress post-traumatique (ESPT). En effet certains symptômes que l’on retrouve dans la dépression post-partum sont également des symptômes de l’ESPT. Ainsi, une femme qui vient d’accoucher peut également souffrir d’un état de stress post-traumatique.
Par ailleurs, il semble qu’environ 1,3 à 6% des femmes subissent un ESPT après avoir accoucher1.

Dépression post-partum : quels sont les facteurs de risque ?

Certaines femmes sont-elles plus prédisposées que d’autres à vivre une dépression postnatale ?
Il existe en effet d’éventuels facteurs de risque, des événements ou des éléments que l’on peut associer au développement d’une dépression post-partum (liste non-exhaustive) :

  • Des antécédents personnels et familiaux dépressifs.
  • Votre entourage direct ou indirect (une relation conjugale conflictuelle, une baisse de libido, un faible soutien du conjoint ou de la famille proche, etc.).
  • Des facteurs socio-économiques (le statut social, le célibat, l’absence d’activité professionnelle, la solitude, etc.).
  • Des antécédents obstétricaux (mort in utero, interruption de grossesse, malformation fœtale, accouchement instrumentalisé, actes chirurgicaux trop invasifs, etc.).
  • La fluctuation hormonale (les études se penchent sur le rapport entre la DPN et la chute des hormones gonadiques et du cortisol au moment de l’accouchement).

Et la place du père dans tout ça ?

Si la venue d’un bébé est un réel changement pour la maman, c’est aussi le cas pour les hommes : un bébé, c’est un engagement pour la vie.

“Au cours du 4ème trimestre de grossesse et même au-delà, les pères aussi traversent des changements, ils doivent faire quelques ajustements. C’est d’autant plus vrai aujourd’hui : de plus en plus d’hommes s’impliquent, contrairement aux générations passées. Les papas aussi souhaitent être présents à l’accouchement, participer aux soins du bébé, apporter un soutien à leur conjointe.

Dans la dépression post-partum, la place du père est capitale, elle va vous permettre à vous, maman, de déléguer, c’est un peu votre espace de décompression. Et ce n’est que dès lors que vous aurez confiance que vous pourrez confier votre enfant, et cela se base en premier lieu sur la nature de la relation, au sein même du couple.”
Cécile Gallart

Notons également que le père représente un ancrage important pour le développement du bébé, ce petit être se nourrit de contact humain, de câlins, de bains, de chants, etc.

Ce constat s’applique aussi au conjoint au sens large, pas uniquement au sein de couples hétérosexuels. C’est donc aussi vrai si bébé a 2 mamans.

Et quand maman est seule ?

Attention, ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de papa, ou de 2ème maman, au sein du foyer que votre enfant souffrira de troubles du développement ou que vous ne vous en sortirez pas. Tout comme l’implication du père à évolué avec les générations, aujourd’hui, de plus en plus de femmes élèvent leur enfant seules. Si les difficultés sont réelles, et ne doivent pas être minimisées, beaucoup s’en sortent très bien.

Il est cependant très important, en tant que “maman solo”, de se sentir entourée de sa famille et/ou de ses ami(e)s. Cela est particulièrement vrai pour le jour de l’accouchement et sur les semaines qui suivent celui-ci.

Dépression post-partum : quels traitements ?

Que faire lorsque l’on souffre de baby blues ? Comment se sortir de la dépression postnatale ? Par quels moyens ? Existe-t-il des traitements naturels à la dépression ?

Penchons-nous sur les alternatives non médicamenteuses d’aujourd’hui.

La psychothérapie

La psychothérapie consiste en un suivi et un traitement psychologique ayant pour but de restaurer votre santé mentale. Cela se fait en favorisant des changements sur différents plans : au niveau émotionnel, comportemental ou encore interpersonnel.

La luminothérapie

La luminothérapie est une méthode douce de traitement des dépressions saisonnières et des troubles du sommeil. Le but étant de vous exposer à une lumière d’intensité ou de spectre proche de celle du soleil.

“On sait tous que la lumière du soleil fait du bien au moral, mais peut-être êtes vous sans savoir que l’exposition à la lumière influence aussi la libération de mélatonine. La mélatonine ? C’est une hormone impliquée dans la régulation de votre sommeil, et la qualité de votre sommeil est, elle, impliquée dans votre bien-être psychologique.”
Cécile Gallart

L’exercice physique

La pratique d’une activité physique régulière et adaptée a montré une baisse dans les troubles dépressifs du post-partum. Bouger, c’est bon pour le corps, mais aussi pour l’esprit. Mais quels types d’activités pratiquer en post-partum ? Retrouvez notre article dédié au sujet ici : reprise du sport en post-partum.

Le maintien d’une vie sociale

Nous l’avons vu, l’entourage joue un rôle important dans la DPN, il en constitue même parfois un facteur de risque. Il est ainsi important que votre entourage proche vous permette de conserver et d’entretenir votre réseau relationnel.

Cela peut parfois paraître difficile du fait du repli sur soi et de la perte d’estime de soi fréquemment rencontrés dans la dépression post-partum. Mais évoquer à vos proches ce que vous avez sur le cœur est déjà un excellent début.

La relaxation, les massages de bébé

Il s’agit de méthodes thérapeutiques ayant pour objectif principal d’aider les jeunes mamans déprimées à se détendre, des techniques visant à apaiser les symptômes anxieux et dépressifs.

“Le massage des bébés est un excellent moyen de mettre en place une relation privilégiée avec votre enfant, de favoriser le développement d’un attachement solide et fort. Il peut également être intéressant de s’orienter vers des pratiques telles que le yoga ou encore la sophrologie. Cela, toujours dans le but d’optimiser les chances de mieux se sentir, dans son corps et dans son esprit.”
Cécile Gallart

Dépression post-partum : la place de l’ostéopathie dans l’accompagnement

Votre ostéopathe a également son rôle à jouer pour vous accompagner lors de cette période délicate de votre vie en tant que mère.

Et s’il peut vous sembler compliqué d’aborder le sujet avec votre ostéopathe, n’oublions pas que le praticien écoute avec ses mains. Vous n’avez pas besoin de verbaliser votre peine, anxiété ou tristesse : vous n’avez pas à mettre de mots sur vos maux.

Mais que fait l’ostéopathe pour vous accompagner et vous aider à traverser cette dépression post-partum ?

Un rééquilibrage émotionnel

Nous l’avons vu, la période du post-partum représente un bouleversement sur plusieurs plans pour vous, jeune maman. Et parfois, cela se solde par un état dépressif, difficilement gérable sur le plan émotionnel.

On peut en fait parler d’un traumatisme émotionnel. Déjà, il y a le bouleversement hormonal lié à la grossesse. S’ajoutent à cela la naissance et la rencontre avec votre enfant et enfin, une longue phase de retour à la normale qui peut être fortement perturbée.

Identifier les points d’ancrage émotionnels

Le travail de l’ostéopathe permet une ré-harmonisation globale de votre corps. Ses techniques s’intéressent notamment aux structures qui ont fortement été sollicitées durant votre grossesse et après votre accouchement.

“L’ostéopathe s’intéresse par exemple à votre bassin ou à vos lombaires, mais pas que. Il s’intéresse aussi à des zones qui peuvent constituer des points d’ancrage émotionnels. Comprenez des zones bloquées, où vous ne ressentez pas forcément de douleurs et qui pourtant doivent être débloquées afin de retrouver un fonctionnement optimal.

Ces blocages peuvent en effet être le siège de mémoires émotionnelles dues au traumatisme émotionnel, qu’il soit conscient ou non d’ailleurs. C’est en vous aidant à vous libérer de ces mémoires que votre ostéopathe peut vous aider à retrouver un état d’équilibre.”
Cécile Gallart

Retrouver un sommeil apaisé, récupérateur : c’est capital

“Certes, on n’y pense peut-être pas en premier lieu, mais l’ostéopathie peut avoir une influence importante sur le sommeil. D’ailleurs, peut-être avez-vous remarqué, comme nombreux de nos patients, qu’après une séance d’ostéopathie, vous faites face à une sensation de fatigue ? Ou encore que la nuit qui suit votre consultation chez votre ostéopathe fût plus récupératrice que les précédentes ?”

C’est en fait grâce à des techniques crâniennes que votre ostéopathe peut accéder aux centres du sommeil. On retrouve ces derniers au niveau de votre épiphyse, que l’on appelle aussi glande pinéale.”
Cécile Gallart

Cette glande pinéale (qui tient son nom de sa forme en pomme de pin) sécrète notamment la mélatonine, cette hormone évoquée précédemment. La glande pinéale intervient donc directement sur la régulation de votre sommeil.

Dépression post-partum : ne pas exclure la prise de médicaments

L’ostéopathie s’avère être une prise en charge globale et efficace dans le traitement de la dépression postnatale. Toutefois, il est important de consulter votre médecin si vous sentez que la situation s’aggrave.

Ne négligez pas non plus les autres options de traitement que nous avons cité plus haut, elles constituent un excellent complément aux soins en ostéopathie.

Il est aussi important de noter, que parfois un traitement médicamenteux peut être nécessaire sur une durée plus ou moins courte. Si vous êtes adepte des approches naturelles, il reste néanmoins important de ne pas exclure ce type de traitements s’il est abordé avec votre médecin. Certaines femmes rapportent que ces traitements leur ont permis de sortir la tête de l’eau.

Pour aller plus loin

Partager son témoignage ou encore lire la manière dont d’autres mamans traversent ces épreuves peut vous apporter du soutien. Envisagez de consulter des forums sur la dépression post-partum ou à intervenir directement en commentaire sous cet article, de manière anonyme ou non.

Envisagez aussi de prendre un moment pour écouter les podcasts sur la DPN sélectionnés pour vous :

Notes et références

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  1. https://www.cairn.info/revue-de-medecine-perinatale-2016-4-page-199.htm

Rédigé par

Cabinet B

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Équipe qui regroupe des professionnel·les de la santé, du bien-être et du mouvement. Animé·es par une volonté de partage, nos expert·es diffusent ici leurs retours d’expériences, savoirs et conseils. Pour favoriser l’accès à des connaissances de manière claire et transparente.

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