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Élongation musculaire chez le·a sportif·ve : que propose l’ostéopathie ?

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élongation ostéopathie
Approuvé par un·e ostéopathe DO

Vous avez ressenti, au cours d’un effort physique ou d’un entraînement, une douleur vive ? Au niveau d’un des muscles de votre jambe, de votre cuisse ou encore au niveau du bras ?

Une douleur que vous qualifiez de continue et qui augmente lors de la contraction musculaire. Elle ne vous empêche pas de marcher, mais il devient difficile de maintenir votre activité.
Si vous vous retrouvez à travers ces lignes peut-être avez-vous réalisé un effort au-delà de votre capacité musculaire. Et vous souffrez probablement d’une élongation.
Mais comment arrive-t-elle et comment la reconnaître ? Qu’est-ce qui la différencie du claquage et de la déchirure ? Qu’est ce qui favorise l’arrivée d’une telle blessure ? Et comment la soulager et retrouver sensations et performances sportives après la blessure ?
Comment soulager, de manière douce et naturelle, cette douleur musculaire grâce à l’ostéopathie ? Et prévenir ainsi la récidive. On vous explique tout.

Élongation musculaire : de quoi s’agit-il au juste ?

On parle d’élongation lorsque certaines fibres musculaires d’un muscle donné sont allongées, étirées. Mais de manière anormale, excessive. Ce qui provoque alors une inflammation des fibres musculaires.

Mais comment la reconnaître parmi toutes les blessures sportives qui existent ?

Les différents degrés de gravité des lésions musculaires

Il existe plusieurs types de lésions musculaires en fonction du niveau d’atteinte du muscle.
Pour rappel :

  • Courbature, crampe ou encore contracture. Les 3C. Elles sont certes handicapantes, mais il n’existe pas encore de lésions dans le muscle.
  • Élongation. C’est lorsque le muscle est allongé au-delà de sa capacité d’étirement. Ce qui crée alors des lésions dans la fibre musculaire, de type micro-déchirures. Aussi, l’on ne perçoit pas d’hématome visible.
  • Déchirure musculaire partielle, ou claquage. Plusieurs fibres musculaires sont ici déchirées et un hématome apparaît.
  • Déchirure musculaire complète. Il s’agit de la lésion la plus grave. Toutes les fibres sont ici sectionnées et il y a une désinsertion musculaire.
  • Le degré de gravité de l’élongation musculaire est donc moins important que le claquage, mais plus important qu’une contracture.

Les muscles touchés par les élongations

Une élongation peut concerner beaucoup de muscles. Toutefois, la plupart de ces traumatismes musculaires touchent les membres inférieurs. Car les déplacements rapides les exposent plus facilement à de nombreux chocs.

C’est ainsi que l’élongation de la cuisse et l’élongation du mollet sont les plus fréquentes. Bien qu’une élongation au bras ou aux biceps soit tout à fait possible par exemple.
Voici une liste non exhaustive des différentes élongations musculaires :

  • Élongation des ischio-jambiers
  • Élongation des adducteurs
  • Élongation du mollet (des gastrocnémiens, du soléaire)
  • Élongation du quadriceps
  • Élongation des fessiers
  • Élongation du biceps fémoral
  • Élongation du biceps brachial

Élongation : pourquoi le muscle subit-il un étirement anormal ?

Les fibres musculaires possèdent une capacité d’étirement et de contraction importante.

Un muscle qui s’étire revient ensuite naturellement dans son état initial. Il peut gagner en souplesse et en force musculaire, à condition de le faire travailler progressivement, et sans forcer.
Le muscle possède également des cellules musculaires qui fabriquent en continu du tissu musculaire. Il est ainsi capable, en général, de guérir les lésions par lui-même. Suivant bien sûr le degré de gravité de votre lésion.
Mais lorsque l’effort est trop important, trop long et/ou trop intense, vos fibres musculaires fatiguent. Leur capacité à revenir à leur état initial devient alors moins rapide au fur et à mesure de votre effort.

Vous souffrez alors peut-être d’une élongation, et plusieurs symptômes permettent de l’identifier.

Symptômes de l’élongation

Une douleur vive qui entraîne un arrêt de l’activité

L’élongation arrive souvent lors d’un effort excessif. La plupart du temps, la douleur est immédiate, mais elle n’est pas foudroyante. Contrairement à un claquage par exemple. Néanmoins elle vous stoppe net dans votre effort.

Si la douleur peut apparaître pendant l’activité en cours, elle peut aussi parfois se déclarer quelques heures après l’effort. Notamment lors du refroidissement musculaire.

L’absence d’hématome

L’élongation ne laisse pas apparaître d’hématome visible, contrairement à la déchirure. Ni même de boule douloureuse au niveau de votre muscle.
En revanche, la douleur a tendance à persister. Et dès que vous sollicitez ledit muscle, même légèrement, vous pouvez ressentir une douleur assez importante.

L’inflammation

Il s’ensuit alors une inflammation provoquée par des microlésions au sein de la fibre musculaire. La contraction l’a alors étirée de manière trop intense. Et c’est l’élongation.

Il ne s’agit pas du traumatisme musculaire le plus grave, mais cette lésion musculaire nécessite malgré tout un suivi adapté. En effet, votre muscle est tout de même fragilisé et cela peut contribuer par la suite à une blessure plus importante. Comme un claquage ou même une déchirure.

Quelles causes et facteurs favorisent l’élongation ?

Plusieurs facteurs, parfois combinés, peuvent la provoquer.

Un muscle mal préparé

La préparation à l’effort est en effet des plus essentielles.

  • Vous êtes sportif·ve amateur·trice : ne sollicitez pas immédiatement un rythme trop soutenu pour votre organisme. Il est en effet primordial de préparer progressivement votre muscle à l’effort. Aller plus loin dans ses capacités, oui, mais petit à petit.
  • Vous êtes sportif·ve de haut niveau et voulez vous lancer dans un nouveau défi. Vous devez alors réaliser des entraînements adaptés. Le tout en respectant les limites de votre corps. Vous pouvez également consulter un·e ostéopathe du sport durant votre phase de préparation.

Un mouvement explosif, une mauvaise exécution

Un mouvement intensif, brusque ou soudain peut causer l’élongation. Comme un tir au foot, une accélération lors d’un sprint, un lancer de poids ou de javelot, etc.

Un entraînement ou un échauffement mal exécuté peuvent aussi causer une élongation. Il peut par exemple s’agir de temps de récupération non respectés entre chaque série d’exécution.

Une hydratation insuffisante

L’eau est essentielle pour votre santé globale, et particulièrement pour la santé de vos muscles. Que vous soyez sportif·ve ou non d’ailleurs.
La contraction de vos muscles entraîne la production de déchets. D’acide lactique, entre autres. Une fois évacués par vos muscles, ils intègrent alors votre circulation sanguine pour que vos reins les éliminent.
Une bonne hydratation est donc primordiale pour drainer les toxines et favoriser un bon fonctionnement musculaire.

Un retour à l’activité physique trop précoce, ou des blessures antérieures mal soignées,

En tant que sportif·ve, il peut arriver de connaître une gêne musculaire, voire des douleurs. Elles se résolvent assez rapidement et vous n’y portez alors pas forcément attention. Et pourtant. Ce sont généralement les signes que vous allez certainement un peu trop loin dans vos capacités. Ou encore, trop rapidement.
Si vous avez connu plusieurs fois dans le passé des douleurs à type d’élongation, vous pouvez avoir développé une fragilité musculaire. Notamment si vous ne l’avez pas soigné. Ou qu’un temps de repos suffisant n’a pas été accordé.
Cette fragilité musculaire peut provoquer d’autres lésions à posteriori, ou des déséquilibres.
La répétition d’un mouvement, ou un travail mal adapté peut entraîner une disparité dans la capacité de vos muscles. Ce qui peut être la source d’un tel déséquilibre.

Une alimentation déséquilibrée ou inadaptée

L’alimentation joue un rôle majeur pour différents aspects de votre santé. Notamment dans la récupération cellulaire musculaire, et à fortiori, la performance musculaire.
Votre corps peut avoir du mal à assimiler les nutriments que vous mangez, notamment lors d’un excès de gras ou de sucre. Et alors c’est votre organisme qui est carencé. Et vos muscles qui ne peuvent se développer correctement, ou se régénérer de manière optimale. Les risques de blessures sont alors décuplés.

Une fatigue

Lors d’un effort prolongé, une fatigue peut s’installer et les mouvements que vous exécutez sont alors moins précis. Tout comme votre vigilance est moindre. Ce qui peut alors conduire à une élongation.

Il en va de même en cas de surentraînement qui amène souvent à l’effet inverse de celui recherché : l’arrêt contraint et forcé qu’une blessure impose.

Du matériel peu adapté

Un matériel sportif mal adapté peut venir déstabiliser votre technique. Vos muscles sont alors davantage sollicités. Et donc plus exposés au risque de blessure.

Conseils pour prévenir l’élongation

Afin de prévenir de l’apparition et la récidive de l’élongation musculaire, pensez alors à vous :

  • Hydrater suffisamment, et ce, avant, pendant et après l’effort.
  • Augmenter progressivement l’intensité de votre activité physique, en respectant vos propres limites.
  • Réaliser des échauffements adaptés avant votre pratique sportive.
  • Intégrer les étirements, à effectuer de préférence à distance, quelques heures après votre sport. Lorsque votre muscle est encore à chaud, il est comme anesthésié. Vous risquez alors de ne pas réaliser que vous allez trop loin dans vos étirements. Et vous exposez donc aussi au risque de lésion musculaire.
  • Disposer de chaussures adaptées à votre pied et à votre pratique sportive.
  • Respecter votre temps de récupération entre vos entraînements , et bien sûr, entre vos blessures.

Que faire en cas d’élongation ?

Le repos sportif est essentiel en cas de lésions. Pour une élongation, on préconise généralement une dizaine de jours sans activité sportive.
Aussi, dès les premiers signes et que la douleur apparaît, vous pouvez appliquer du froid sur la zone. Environ 15-20 minutes. Et ce, plusieurs fois par jour si vous le pouvez, afin de favoriser une récupération optimale.

Poser le diagnostic

Votre médecin effectue le diagnostic clinique de l’élongation musculaire. Une douleur localisée survenue à la suite d’un effort intense est le premier signe évocateur.

Le testing musculaire permet de tester la force de contraction, afin de déterminer le degré d’atteinte de votre muscle.

Si nécessaire, des examens complémentaires sont réalisés. Comme une échographie, afin notamment d’écarter tout signe lésionnel du muscle. Et de déterminer, d’autre part, le siège de votre élongation avec précision.

C’est aussi le moment de faire un point sur le temps de récupération à suivre afin d’éviter la récidive de l’élongation musculaire.

Oui au repos, non à la sédentarité

Le repos sportif n’implique pas forcément de rester toute la journée sans bouger. Il est conseillé de rester un minimum actif·ve, afin de continuer à faire fonctionner votre muscle. Et aussi pour que votre sang circule correctement. La production de nouveau tissu musculaire est alors favorisée, ce qui est important pour votre rétablissement.

Élongation, traitement naturel et ostéopathie

L’ostéopathie offre de bons résultats pour ce type de blessure. D’autant plus si votre ostéopathe est spécialiste du suivi des sportif·ves.

Le soin optimise votre récupération. Mais il évite aussi la récidive, grâce notamment au réajustement d’éventuels déséquilibres posturaux ou musculaires.

Les soins de l’ostéopathe sont variables selon le muscle touché par l’élongation. Mais aussi en fonction :

  • de l’existence d’éventuelles anciennes blessures ou traumatismes. Et qui peuvent impacter vos performances actuelles et être source de déséquilibres pour tout votre corps. Ce qui amplifie le risque de blessure musculaire, comme l’élongation.
  • de votre activité,
  • de vos objectifs sportifs.

Car une fois vos douleurs et votre muscle soulagés, votre ostéopathe du sport vous accompagne aussi vers la reprise.

Récupération et reprise

Les soins de votre ostéopathe vous amènent à une reprise d’activité progressive, dans les meilleures conditions possibles. En toute sécurité, sans risque de blessure, et dans la visée de votre performance prévue.

Selon la longueur de votre élongation, la reprise peut prendre de quelques jours, à deux ou trois semaines maximum. L’échographie permet justement de déterminer la longueur de votre élongation, d’où l’intérêt de cet examen médical.

Votre ostéopathe veille alors à aider votre muscle à récupérer sa capacité de fonctionnement. Quelles sont les étapes du soin pour permettre cela ?

Travailler sur votre muscle, localement

L’ostéopathe peut être amené·e à travailler sur le muscle directement. Par cette action, il s’agit de stimuler la production de tissu musculaire et éviter le phénomène de fibrose.1
En effet, des adhérences peuvent se créer entre les fibres du nouveau tissu musculaire fabriqué par le muscle en souffrance. Le soin en ostéopathie permet alors de libérer ces adhérences afin d’améliorer la qualité du tissu musculaire.

Veiller à une circulation sanguine optimale afin de drainer l’inflammation

Vos muscles ont besoin de nutriments pour fonctionner, et pour guérir correctement. Ils sont nécessaires à leur reconstruction cellulaire. Comme par exemple l’oxygène et tous les nutriments véhiculés par le sang. Protéines en première ligne.
Mais vos vaisseaux sanguins peuvent aussi être comprimés par la blessure, localement ou à distance. Alors, la bonne circulation des nutriments est empêchée.
Votre ostéopathe, après les avoir identifiées, lève ces compressions et libère vos vaisseaux sanguins.
Optimiser votre circulation sanguine contribue aussi au bon drainage de l’inflammation. Ce qui permet à votre muscle de retrouver ses qualités d’étirement et de contraction.

Votre ostéopathe peut aussi employer des techniques dites myofasciales. C’est-à-dire qui consistent à travailler sur vos muscles et leur enveloppe. Enveloppe qui contient vos artères, vos nerfs et votre système lymphatique. Bien utile à la régénérescence de votre tissu musculaire.
Ces techniques permettent également de rééquilibrer les fonctions des fibres musculaires.2

Lever les compressions au niveau de vos nerfs

Votre cerveau contrôle, à l’aide de différents nerfs, les muscles qui se contractent volontairement, appelés les muscles striés. Votre ostéopathe s’assure qu’aucune compression n’existe sur leur trajet. Que ce soit localement, au niveau du muscle élongué. Ou sur votre colonne vertébrale, votre bassin ou encore au niveau de votre crâne.

Corriger les déséquilibres musculaires

Un déséquilibre musculaire peut être un facteur à l’origine de votre élongation. Il est donc nécessaire de les identifier et de les traiter pour éviter une blessure ou une récidive.

Il peut s’agir de déséquilibres entre différents groupes musculaires. Comme par exemple entre ceux qui servent à l’extension de vos jambes et ceux utilisés pour votre flexion. On dit d’ailleurs qu’ils sont antagonistes, car lorsque l’un se contracte, l’autre se relâche.

Un manque de synergie entre ses groupes musculaires peut altérer la qualité de vos mouvements. Et notamment vos gestes techniques ou votre course. Ce qui favorise une fatigue plus rapide de vos muscles et à fortiori, une fragilité croissante.

Mais il peut aussi s’agir de déséquilibres articulaires. Qu’ils soient au niveau de votre bassin ou de votre cheville. Comme dans le cas d’une entorse par exemple. Mais aussi au niveau de votre rachis, qui comprend vos cervicales, dorsales et lombaires.

Revoir la posture

Votre posture peut se retrouver en déséquilibre. Parfois, suite à un traumatisme ou encore à cause d’un dysfonctionnement d’une de vos entrées posturales. C’est-à-dire de vos pieds, de votre mâchoire, de votre oreille interne ou encore de vos yeux. Il n’est pas rare en effet de constater une posture biaisée par un trouble de la mâchoire par exemple.

Le problème est que votre pratique sportive peut accentuer ces déséquilibres. Ou tout autre activité intense et répétée.

Le travail de votre ostéopathe consiste alors à redonner à votre corps une harmonie entre ses différentes structures. Vos os, vos muscles, etc., et vos entrées posturales. En vue de lui permettre un fonctionnement optimal.

La chasse aux phénomènes de compensations

Lorsque l’on aborde la question de la posture, il faut aussi mentionner les phénomènes de compensation. Votre blessure entraîne des postures dites antalgiques. C’est-à-dire des positions que votre corps trouve et adopte, consciemment ou inconsciemment, afin de limiter la douleur initiale. Des postures qu’il trouve plus confortables en somme.
Mais ces positions antalgiques peuvent entraîner des blocages ailleurs dans votre corps, et à fortiori, d’autres douleurs.
Votre ostéopathe s’assure que ces compensations ne provoquent pas d’autres douleurs à court ou à long terme.

L’ostéopathie pour éviter les récidives

L’enjeu majeur est aussi de veiller à ce que votre blessure guérisse de façon optimale. Et ce, afin que votre muscle ne soit pas fragilisé à long terme.
Votre ostéopathe travaille à distance de la blessure, une fois s’être assuré·e que votre muscle fonctionne de nouveau au mieux. C’est-à-dire sans risque de fibroses ou d’adhérences.
Il s’agit de mettre votre corps dans les meilleures dispositions possibles pour qu’il puisse récupérer. Mais bien des facteurs peuvent malheureusement compromettre votre récupération.

Quand votre organisme peine à récupérer

La fatigue est un facteur de blessure et de récidive important. Votre système musculaire et vos gestes sont moins bien exécutés, moins fins, moins précis lorsque votre organisme est fatigué. Ce qui peut alors conduire à des blessures.

Votre fatigue quant à elle, peut être due à un état de tension permanent de votre corps. Le stress, les angoisses, ou encore les troubles du sommeil peuvent en être la cause.

Votre corps se retrouve alors en état de lutte permanente, ce qui est particulièrement énergivore. Votre système musculaire ne bénéficie alors pas de cette énergie réparatrice. Fragilisé, il est alors soumis au risque plus important de blessures et de récidives.

La fatigue peut avoir bien des origines

Des troubles digestifs ou encore un dérèglement hormonal peuvent causer votre fatigue . Le travail de votre ostéopathe consiste donc à soigner les tensions qui peuvent conduire à une fatigue chronique.

Pour cela, le soin en ostéopathie accompagne votre organisme dans son système de régulation et d’échanges. Grâce à plusieurs de vos systèmes physiologiques. Comme votre système sanguin, votre système hormonal ou votre système digestif, entre autres.

Ne vous étonnez pas alors si votre ostéopathe s’intéresse à votre crâne, votre ventre, ou encore votre dos, entre autres. Même pour une consultation pour une élongation à la cuisse. Mais le soin est un moment d’échanges, et tout ceci est expliqué lors de la séance.

L’ostéopathie pour la reprise sportive et le retour aux performances

Une fois la phase de récupération passée, en moyenne 10 jours, vous pouvez reprendre votre activité physique.
Toutefois, il se peut comme vous ne soyez pas immédiatement au même niveau physique qu’avant la blessure.
Il est important de respecter les limites de votre corps et de reprendre votre activité sportive progressivement. Doucement, à votre rythme.
Votre ostéopathe du sport vous donne toutes les clefs d’une bonne reprise, sans récidive.

Notes et références

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  1. https://www.pasteur.fr/fr/quand-cicatrisation-evolue-fibrose-mauvaises-cellules-identifiees
  2. https://www.hsnstore.fr/blog/sports/types-de-fibres-musculaires/

Rédigé par

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Équipe qui regroupe des professionnel·les de la santé, du bien-être et du mouvement. Animé·es par une volonté de partage, nos expert·es diffusent ici leurs retours d’expériences, savoirs et conseils. Pour favoriser l’accès à des connaissances de manière claire et transparente.

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